La rencontre de Maitre et de Laure

Un homme, Une femme, des echanges.
Simplement un journal à deux faces.

MetLaur@live.fr

vendredi 12 juin 2009

Ce Mercredi 10 Juin

Mais quelle idée !!!

Ce matin la, je me suis habillée pour lui, pour mon Maitre. Il faisait frais. Un Tailleur et sa jupe, un chemisier, un joli soutien-gorge en dentelle blanche, des bas autofixants et ... pas de sous-vetement sous ma jupe. Des petits talons en guise de chaussure me faisaient sentir tres femme.
Je suis partie travailler comme à mon habitude. Quelques instants de marche, puis le bus. Debout je me sentais épiée, non regardée. Puis quelques minutes de marche avant d'arriver à mon bureau.

Enfin, je n'y suis jamais arrivée à mon bureau.

A peine descendue du Bus, je me suis sentie fatiguée d'abord. Puis, apres quelques metres, un premier vertige qui me fit palir. Au lieu de m'arreter, j'ai preferré accelerer le pas pour retrouver plus rapidement mon bureau. Grosse Erreur, deux pas et la tete me tourna avant que je ne m'effondre au sol devant des passants quelques peu indifferent.

J'ai mis un moment à reprendre mes esprits. Un jeune homme m'avait aidée à m'assoir sur un banc tout proche et il attendit l'arrivée des pompiers avant de me souhaiter un bon retablissement. Ceux ci arrivant, ils me firent monter dans leur camion.

Premier constat, rien de trop grave, la hanche douloureuse, le coude endolori, la veste et la jupe abimée, mais rien de bien alarmant jusqu'a ce que le pompier "medecin" me demande d'enlever ma veste et ma jupe pour me soigner la hanche tout eraflée ... je vous laisse deviner la couleur de mon visage quand j'ai compris l'erreur de ce matin. Meme si c'etait une femme ! Devoilée ma nudité me mis tres mal à l'aise.
"Ne soyez pas mal à l'aise", me dit elle comprenant à moitié mon desarroi.
Quand j'otais ma jupe, elle sourit ne me voyant rouge pivoine. "Ca m'arrive aussi" rit elle ...
Elle me mit un peu de Mercurochrome, un pansement et me rendit ma jupe.
"Vous devriez pouvoir la remettre ..."


Les pompiers m'emmenerent à l'hopital pour une prise de sang et verifier qu'il n'y avait pas de souci. Ce fut fait rapidement. Et commenca l'attente.

Presque 2 heures plus tard, un medecin me fit entrer dans une salle d'examen. Me questionna, verifia ma tension, verifia qu'il n'y avait rien de grave. Et puis ce fut le choc :
"Ne vous inquietez pas, Votre etourdissement vient surement de votre grossese mais il n'y aura pas de consequence pour celle-ci, vous pouvez etre rassurée".
"Ma grossesse ... ???? " ai je demandé.
Oui , suite au examen sanguin, ce medecin m'a annoncée que je serais Maman... Je n'ai su comment le prendre. Contente, heureuse, tout simplement deboussolée de cette annonce. Je n'y etais pas preparée.

J'ai appelé mon cheri pour qu'il vienne me chercher à l'hopital. Ce ne fut que dans la maison que je lui ai annoncé l'heureuse nouvelle .... Il a passé la journée avec moi et nous avons feté l'evenement imprévu ensemble.

Ce matin, j'ai envoyé un mail à mon Maitre.

Maitre, les clés de l'appartement sont à l'accueil.
Un pli pour Monsieur Metlaur.
Votre emprise sur moi ne peut continuer, je vais etre Maman.

Merci,
Votre Laure.

mardi 2 juin 2009

Mardi - Semaine 13

"Emmene le flacon d'huile chez toi, tu trouveras bien un moment pour t'en servir."
Voila le message qu'il m'a laissé vendredi matin. Comme un idiote, je suis passée à l'appart chercher le flacon le midi. Il pense à tout. Sur la commode, un flacon neuf dans son emballage m'attendait. En debut d'apres midi, j'avais un message de mon Maitre, me disant juste que j'etais tres obeissante et qu'il attendait encore mieux de moi en cette fin de semaine.

Samedi soir, on etait tous les deux, avec mon cheri, dans la chambre; lui écoutant de la musique, moi lisant une revue. Allongée sur le dos, il me caressait doucement le cou quand je lui ai demandé :

"Je suis pas contre un petit massage ...y a meme de l'huile dans la salle de bain si tu veux bien.".
Il est venu s'assoir sur mes fesses. Il a étalé l'huile sur mon corps. Ses mains ont massé longuement mes epaules avant de descendre sur mes omoplates et le bas de mon dos. Ses mains se faisaient moins pressantes, plus calines, disparaissant regulierement sous l'elastique de mon shorty.
Shorty qui fut enlevé quelques secondes plus tard. Moi nue, lui nu, il se reinstalla sur mes fesses, ou plutot sur le haut de mes cuisses. Il remis de l'huile sur ses mains et me caressa les fesses. Je sentais sa main plonger entre mes cuisses, je sentais son sexe frotter contre mes fesses.
Tres vite, j'abandonnais ma lecture pour passer une main dans mon dos et emprisonner sa queue entre mes doigts. Ce fut le declencheur; Mon cheri se mit a onduler son bassin pour que je le masturbe dans ma main. L'huile chauffait ma main, chauffait son sexe. L'odeur de vanille emplissait la chambre, la temperature montait. Il se leva pour ouvrir la fenetre.
Quand il revint, il placa mes mains le long de mon corps et reprit ses massages: des mains fermes sur mes epaules et son sexe qui coulissait dans mon sillon. Je me cambrais pour appuyer sa caresse ... son gland allait et venait; tapant mon oeillet de temps à autre sans jamais me penetrer.
"Bouge plus", lui dis-je. Son sexe en main, je le frottais contre fesses, je le frottais contre mon anus lubrifié par l'huile. Il se laissa faire. Baissant son sexe dans mon sillon, celui-ci vint pointer directement contre ma rosette. Je retirais ma main et ecartais un peu les cuisses en signe d'accord.
Il ne lui en fallut pas plus pour comprendre que je l'autorisais à me prendre ainsi. A me sodomiser. A m'enculer.
Les dents serrées, la gorge nouée, c'est avec douleur que je subis ses assauts; lente progression en moi, puis les premiers mouvements, puis une chevauchée moins douce et pour finir les derniers coups de reins violents dans mon cul; tout ca pour me bruler en dechargeant dans mon derriere. Définitivement, je n'aime pas ca ...
Il s'est allongé sur moi et m'a sussuré à l'oreille:"Merci ma cheri, c'est une belle surprise, un joli cadeau".


jeudi 28 mai 2009

Jeudi - Semaine 12

3 jours que j'attendais qu'il me dise quelque chose. 3 jours que j'avais en tete son depart impromptu.
Hier soir, il m'a laissé un message sur le site. Un message tres clair.
"Viens demain à 12h00 ou ne viens plus". Rien d'autre.
Cela m'a trottée dans la tete une bonne partie de la soirée.
Ce matin, en m'habillant, je savais que j'irais; quelques soient ses intentions à mon égard. J'ai ouvert mon placard pour choisir une jupe, une jupe plissée grise, un chemisier noir. coté sous-vetements, j'ai pris ce mini string, j'ai sorti un collant puis l'ai rangé; j'ai pas mis de soutif. Mon cheri ù'a fait un baiser dans le cou ... me disant que j'etais tres belle; j'ai rougi, rougi car je me suis dite "si il savait ...".
J'ai attendu, tendue, que la matinée se passe. Jusqu'à 11h50, heure à laquelle j'ai fermé mon bureau pour partir le rejoindre.
La clé dans la serrure, j'ai ouvert la porte à l'heure à laquelle il m'avait donné rendez vous. Il etait deja la ! Assis dans le fauteuil, il m'attendait. Mon coeur s'est mis à battre à 300 à l'heure. Assis, les bras sur les accoudoirs, en costume, avec un masque de pierrot sur le visage ... un masque blanc immaculé sans la larme noire habituellement sous l'oeil. Le masque lui cachait le haut du visage , seule sa bouche et ses cheveux etaient visible. Ses yeux marrons, son regard tranchaient avec la paleur du reste.
Il me fit signe de la main de m'approcher, sans dire mot. Planté debout devant lui, il me prit mon sac pour le poser à terre; me fit comprendre d'enlever mon manteau en ouvrant un pan de celui-ci.
Ces mains se poserent sur mes genous et me fixant dans les yeux , il les remonta sous ma jupe contre mon sexe. Je fermais les yeux. Il m'ordonna de les ouvrir. Il defit le bouton sur le coté de ma jupe, fit glisser le zip pour la laisser tomber à mes pieds.
"Enleve ton chemisier". Aussitot dit, mes doigts s'attaquerent à la boutonniere puis le chemisier fut enlever.
Il se leva et alla vers le tiroir d'ou il sortit un godmichet long, souple et transparent. Puis il se rassit face à moi. il frotta le tissu de mon string contre mon sexe deja bouillonnant. Je me sentais deja defaillir a ce contact; il ecarta le tissu sans l'oter et me planta ses doigts au fond de mes chairs. Des mouvements profonds, lents, insistants ... Il retira ses doigts et les porta à sa bouche pour les sucer dans un geste obscene.
Le god posé a coté de lui, vient remplacer ses doigts. Il l'enfonca jusqu'a en faire disparaitre le premier tiers ... ce qui simulait deja un membre respectable ...
"Va te branler sur le lit en me regardant". Les pomettes rouges cramoisies, je m'executais. Il me laissa ainsi quelques minutes sur le lit, lui ne bougeant pas d'un minimetre dans son fauteuil. Puis d'un doigt, il me designa le flacon d'huile sur la table de chevet. Sans qu'il n'ait a me le dire, je compris qu'il souhaitait que je m'en enduise mon oeillet. L'odeur de vanille, puis cette sensation de chaleur sur mon petit trou.
"Enfonce toi l'autre coté dans le cul". La gene, la honte, la peur m'envahit. Mais relevant la jambe, je fis plier le god et reussit à poser l'autre extremité de ce phallus sur mon anus. Le god glissait entre mes doigts poisseux; poisseux de l'huile, poisseux de mon jus. J'etais en train de m'enculer ... pas quelqu'un d'autre, non, moi !
En peu de temps, il ne restait de visible que la partie coudée du god. Les muqueuses distandues, je ne sentais meme plus cette presence dans ma chatte, mon cul m'omnibulait.
Il se leva. A genou devant le lit, il s'empara de cette partie visible et la fit coulisser en moi. Doucement il tirait ce latex, puis le repoussait en moi, me faisant gemir a la fois de plaisir et de douleur. Allongée, je soulevais les fesses et il en profitait pour me forcer encore plus le derriere.
Le poussant une fois encore en moi, il me fit m'assoir sur le bord du lit, m'appuyant encore plus sur ce phallus. Debout devant moi, je lui ai defait sa braguette, pour une raison inconnue, pour me faire garce surement. La chaleur de sa queue contre mon palais. Il m'a tiré les cheveux pour me baiser la bouche. Excitée, je remuais mon bassin, creant une vague de plaisir dans mes reins, dans mon antre. Il m'a laissé poser ma main sur son sexe; je l'ai branlé dans ma bouche; je l'ai aspiré ; je l'ai enfoncé a m'en faire remonter la bile. Et puis mon ventre s'est contracté, j'ai joui ... j'ai joui sans qu'il ne me touche. Alors je l'ai aspiré encore plus fort. Je l'ai aspiré jusqu'a sentir des soubressauts sur sa queue. jusqu'a ce qu'il m'inonde le palais , qu'il se deverse sur ma langue. J'ai avalé sans le sortir de ma bouche. Son bassin se projetant toujours plus loin. Il a joui bruyamment.
Je l'ai sucé encore. je l'ai nettoyé avant de remettre son sexe dans son pantalon.
Il a remis sa veste. Il est parti.
Je me suis effondrée sur le lit, tete en arriere et j'ai sourit. j'ai sourit puis j'ai ri. Un rire nerveux. Je crois avoir eu un vrai orgasme.

lundi 25 mai 2009

Lundi - Semaine 12

Pas de nouvelles de Lui pendant une semaine. J'ai toujours les clés de l'appart.
Ma Garde-robe s'agrandit de sous-vetements ces temps-ci. Mon chéri me fait des petits cadeaux, des petites surprises; vraiment petites d'ailleurs, la derniere en date fut un string, un string ridiculement petit avec juste une ficelle dans le dos, et devant pas vraiment beaucoup de tissu. Mais cela l'emoustille de me voir les porter ... alors je cède. Comme presque toujours je lui cède. Sauf ...
Ce matin, j'ai recu des nouvelles de Maitre. Un mot sur le site, toujours aussi court et peu detaillé.
"Laure,
Que lis-je ? Tu lui as refusé ton oeillet ? je suis fort deçu. Tu t'habilles pour l'exciter, tu l'acceptes debaout dans ta cuisine et tu lui refuses ton cul ? je suis deçu.
Soit à 12h15 à l'appart. Nue biensur et masquée.
Ton Maitre."
J'etais contente d'avoir de ses nouvelles. J'aurais préferré un "Bonjour, comment vas tu ?" mais je ferais sans. Je me suis donc rendue à 12h00 à l'appart, un peu en avance, comme souvent. Presque impatiente. Je me suis deshabillée completement, pantalon, chemisier, culotte, soutif et chaussette soigneusement pliée sur la commode. Et je l'ai attendue avec mon masque sur les yeux, assise sur le bord du lit. De longues minutes d'attente pour enfin entendre le bruit de la clé dans la serrure.
Il est entré sans un mot. Enfin si :"Mets toi a quatre pattes sur le lit". Je me suis éxécutée.
Quelques secondes plus tard, je sentais ses doigts deja tout contre mon sexe. A plat, il frottait mes levres, juste assez pour les ouvrir, juste assez pour les tendre puis les relacher. Puis il m'a demandée de passer une main entre mes cuisses et de me caresser moi-meme. Il me guidait en me donnant le rythme, en me disant comment mettre mes doigts. Sa voix s'est eloignée. Puis il est revenu. J'ai senti la fraicheur d'une huile qui coule le long de mon sillon pour venir au contact de mes doigts me lubrifier la chatte. Cette odeur de vanille si agreable; cette sensation de chaleur presque immediate sur mes levres et mon clitoris. Il m'a glissé le vibromasseur dans ma main pour que je me masturbe avec. "Enfonce le bien profondemment" me disait il tout en me caressant les fesses.
Quelques instants de plaisir et il me retournait sur le dos, une jambe ouverte et l'autre relevée contre son corps. "Continue". il vibrait en moi quand j'ai senti mon oeillet sollicité par son doigt. "Non !". Je ne voulais pas. Il a continué sa progression sans que vraiment je ne cherche à l'arreter. Petit à petit, ses doigts glissaient dans mon cul, m'ouvrant par cet endroit si peu habitué.
Il m'a pris les mains pour me les faire poser le long de mon corps. Mon coeur s'est emballé à l'idée de ce qu'il oserait faire. Le vibro a quitté mon sexe et la langue de mon Maitre s'est empressée de venir sucer mon bourgeon. Mes seins, mon corps se sont tendus sous sa caresse buccale. J'ai un mouvement de recul lorsque mes fesses furent en contact avec la vibration de cette copie de phallus. Il m'empecha de bouger et penetra mon anus doucement. La douleur arriva progressivement quand il fut en moi. Ni la vibration, ni la langue ou les doigts de mon Maitre ne suffirent. J'avais l'impression que cela n'en finissait plus. Je tentais de baisser ma jambe pour refuser cette intrusion et d'une voix timide "Non pas ca, je veux pas ...".
Laissant le vibro enfoncé au fond de mon cul, il me dit juste un "D'accord". Il se leva du lit.
je reprenais ma respiration quand j'entendis la porte claquée.
Surprise, je me relevais rapidemment en enlevant le masque. Le vibro s'enfonca alors dans mon cul et m'arracha un cri de douleur. Il etait parti ! tout ca parce que je refusais cette pratique.
La surprise passée, je me rallongeais sur le lit et je ne sais pourquoi je me fis jouir ainsi, enfoncant mes doigts violemment dans ma chatte. Me liberer, c'est juste ce que je voulais, me liberer de la frustration de son depart soudain.
Apres avoir mouillé le drap du lit, j'otais ce vibro incomfortable et allait faire ma toilette pour repartir au travail.
La sensation de mon petit trou encore ouvert dura tout le long du retour. Ile me fallut me remettre au travail pour oublier la deconvenue que je venais de subir. Et alors, quoi, je n'aime pas me faire sodomiser, est ce vraiment si important ?

lundi 18 mai 2009

Lundi - Semaine 11

La journée de Jeudi fut longue. Cette tenue. Les regards des collegues.

18h00. Je suis arrivée la premiere à la maison. Pour me changer les idées, j'ai preparé le repas. Il est arrivé quand j'etais dans la cuisine à eplucher des pommes de terre. Un baiser rapide mais il est resté dans la cuisine.
-Tu t'es faite belle pour aller au travail, dis-moi ?
-Non, je me suis changée eu travail avant de partir. J'ai acheté la robe ce midi. Elle te plait, je voulais te faire une surprise.
-Alors c'est une belle surprise, ma cherie. Si je m'ecoutait, je te l'enleverais bien et ton collant avec ...
-Qui te dit que j'ai un collant ?

Il s'est approché de moi avec un petit rictus sur le visage. Entre la surprise et l'interrogation. Il a posé ses levres dans mon cou et a posé ses mains sur mes hanches. Tournant ma tete, il a glissé sa langue dans ma bouche. J'ai posé ce que j'avais dans mes mains, me suis appuyée sur son corps et ai laissé mes mains venir contre ses hanches. "Je te plais ?". Pour toute reponse, j'ai senti ses mains se saisir de ma poitrine et frotter le tissu si fin contre mes seins. J'avais envie de lui. Mes mains sont venus se poser sur sa ceinture, sur sa braguette, pour l'ouvrir et plonger dans son pantalon.
"Tu n'as pas de soutif ???"
"Non plus" lui ai je repondu d'une voix douce.
Sa queue durcicait deja entre mes doigts. Je le caressais, le serrais dans la paume de ma main. Ma reponse eut pour effet de lui faire glisser ses mains sur mes cuisses pour me remonter ma robe et decouvrir l'insolence de ma tenue. Son humm me fit rougir.
"J'ai envie de toi maintenant" me murmura t-il à l'oreille.
Me retournant face à lui, je defis sa ceinture et son pantalon. Puis accroupie, je l'aidais à quitter ce vetement tombé à ses chevilles. Il attrapa de lui meme son boxer et fit jaillir sa queue tendue devant mon visage. J'eu envie d'y poser mes levres. De le prendre. De l'aspirer au fond de ma bouche. Je salivais. Je le frottais contre l'interieur de mes joues. J'ai levé la tete pour le regarder. Il me regardait. Il me releva et fit passer ma robe par dessus mes epaules puis mes bras. En porte-jaretelles et bas devant lui, il sourit. Sa main attrapa la mienne et me fit me retourner.
Les mains appuyées sur le plan de travail, les fesses en arriere, il prit possession de mon intimité. Sa queue s'engoufra lentement en moi jusqu'a ce que son pubis vienne se coller à moi. Il ondula ainsi en moi, me caressant les seins, les pressant, les pincant. Puis un rythme plus soutenu. Il claquait contre mes fesses. Sur la pointe des pieds, je me suis donnée à lui, l'encourageant de mes gemissements. De temps en temps, il sortait completement de moi pour y revenir encore plus fort. Quand sa queue glissa sur mon oeillet, je lui refusais l'entrée. Il n'insista pas et revint dans ma chatte pour m'amener au plaisir. Comme electrisée, une onde parcourue mon corps, puis une seconde, puis une troisieme qui me fit crier mon bonheur. Il ne lui fallut que quelques secondes pour se laisser aller et jouir en moi.
la tete entre mes bras, je sentais deja le sperme couler le long de ma jambe. Un autre jour, j'aurais immediatement attrapé quelque chose pour arreter cet ecoulement; mais la je restais dans cette position: lui, perdant son ardeur en moi, et son plaisir ruisselant sur mes jambes.

jeudi 14 mai 2009

Jeudi - Semaine 10

Hier soir il m'a laissé un message sur le site.
"Laure,
Demain 12h15, à l'appartement. Habillée comme tu veux sauf les chaussures, mets des escarpins noires. Tu mettras le masque.
Maitre."

A 11h45, je suis allée au toilettes. Enfin faire une petite toilette; remettre mes cheveux, enfin un truc de fille. Depuis le soir, j'y ai pensé. Pourquoi des escarpins. Pourquoi habillée.
A 12h10, j'etais dans l'appart, le masque sur les yeux. Je me suis assise sur le lit. Dans le noir. A l'attendre.

Puis il est arrivé. Je me suis levée: je ne sais pourquoi. Il m'a dit Bonjour! Rien d'exceptionnel mais ca me fait frissoner à chaque fois quand il me dit bonjour. Puis rien. Puis le bruit de tiroir. J'avais meme pas pensé en arrivant à l'ouvrir ce tiroir. Histoire de voir.
Puis il m'a pris la main pour m'amener au milieu de la piece. Derriere moi, il m'a embrassée le cou et ses mains ont saisi mon manteau pour me le faire quitter. Il m'a enlassée sans dire mot; comme toujours. Ses mains sur mon ventre ont attrapés mon chemisier pour le sortir de mon pantalon, lentement, remontant sur mes seins, deja tendus, deja excités. Un a un il a oté les boutons. Mettant a nu mes epaules, il les a embrassées en se debarassant de mon haut. Puis mon ventre, le bouton de mon pantalon, le zip. Il a glissé au sol. Mon maitre a laissé ses levres trainées le long de ma colonne et m'a aidé a oté le tissu entravant mes jambes. J'ai senti sa bouche contre mes fesses. Contre la satin de ma culotte. Ses mains sont remontées sur mes mollets, mes cuisses pour redescendre en s'emparant de ma culotte. Sa bouche collée à mon sillon. Puis tout son corps est remonté contre le mien. Enfin pas assez contre. J'aurais aimé sentir son ardeur contre mon corps. Mon soutien gorge m'a quitté presque sans que je ne le sente. Cette sensation d'etre nue, d'etre sous son influence.
Puis la chaleur de ses mains a envahi ma poitrine, un contact doux, pas oppressant, presque une caresse. Descendant jusqu'a mon pubis, il m'a torturée delicatement; effleurant mes levres, les ouvrant par son simple contact. Sa langue gobbant mon lobbe, il s'est collé a moi, enfoncant ses doigts entre mes chairs avant de se séparer de moi.
Quelques bruits de pas, quelques bruits de tissu, je l'ai senti devant moi pour m'attirer vers le lit. Assise sur le bord, puis allongée les jambes touchant le sol. Il a pris ma jambe droite et la douceur d'un tissu soyeux est remonté le long de ma jambe. Un bas. Le deuxieme bas est venu m'habiller. Il m'a relevée. Debout dans le noir, j'ai senti ses bras m'entourer pour en fait me ceinturer. Ses doigts ont saisi le haut d'un bas et j'ai compris qu'il attachait un porte-jaretelles. De sa position basse, il a glissé sa langue contre mon sexe humide puis encore une fois il s'est eloigné.
"Leve les bras". Il m'a enfilé un tissu par mes mains, puis ma tete, puis le tissu a glissé le long de mon corps pour se placer. Une robe. Frolant mes tetons, je me suis sentie sensible. Si j'avais pu le prendre dans mes bras. A cet instant. J'ai serré les poings, par reflexe. Pour m'en empecher. Encore une fois il s'est eloigné.
Soulevant mon pied, il m'a enfilée un escarpin. Puis l'autre. Il m'a pris la main pour me faire tournoyer. "Tu es tres belle ainsi".
D'une voie legere, il m'a parlée :
"Voici la regle du jeu. Tu vas aller rejoindre ton travail ainsi. Tu rentreras chez toi ainsi. Tes vetemetns restent la. Et tu attendras ton cheri dans cette tenue. C'est un ordre. Ne cherche pas a revenir te changer avant de rentrer car je saurais si tu as repris tes vetements.
Bonne apres midi et bonne soirée."

La porte a claquée. Comme a chaque fois. Le masque tombée je me suis vue dans cette glace, dans cette robe noire. Pas trop habillée mais terriblement sexy. Mon manteau sur le lit, un petit paquet enrubannée à coté. Je l'ai ouvert : un mot ecrit d'une belle plume :"les vetements et ce cadeau sont à toi." A l'interieur, un fouloir en soie rouge carmin que je me suis empressée d'essayer puis de glisser dans la poche de mon manteau.

J'ai quitté l'appartement en laissant mes vetements et suis repartie au travail. Les cuisses humides d'excitation.

mercredi 13 mai 2009

Mercredi - Semaine 10

Hier, il m'a envoyé un mail en fin de matinée. Pas sur le site. Un vrai mail sur mon adresse pro. Ca m'a un peu surprise. Et le contenu aussi.
"Ce soir tu vas baiser devant la télé. Bonne soirée. Maitre."
Quelle idée ! Me connait-il si bien que ca pour savoir que ce n'est pas trop mes habitudes ?

Je suis rentrée à la maison n'ayant plus en tete son message jusqu'a ce que je sorte de la douche. J'allais mettre ma tenue de maison, un calecon long et un petit debardeur, et puis j'ai ouvert mon tiroir a sous-vetements. L'ensemble string qu'il m'a offert, tout en dentelle, m'est tombé dans la main. Je l'ai mis, puis mon calecon par dessus.
On a mangé tard. Il est arrivé tard. Puis il a pris sa douche.

Quand il est revenu, je m'etais allongée sur le lit, sans mon calecon, sans mon debardeur. Devant la nouvelle Star. Il a été surpris de me voir ainsi. "J'eteins la télé", qu'il m'a dit ... "Non". Il est venu s'installer derriere moi sur le lit. Il m'a caresser les jambes, les fesses. J'ai juste tourner la tete pour lui sourire et ai relevé les fesses pour me mettre sur les genous, la tete posée sur l'oreiller. Et puis je lui ai dit "Tu peux enlever si ca te gene pour me caresser ... ". J'avais envie de lui dire alors que d'habitude je suis plutot passive. Quand il a glissé ses doigts en moi, je lui ai dit que c'etait bon. Quand il est venu a genou derriere moi, j'ai reculé mon bassin pour qu'il penetre en moi, profondement, immediatement. Ca a été tres intense ... long... jusqu'a me faire jouir ... jusqu'a ce qu'il jouisse en moi. Et tout ca devant la télé. Moi qui suis plutot du genre sous les draps , lumiere eteinte ...
C'est Lui qui me rend comme ca ... je crois ...

dimanche 10 mai 2009

Vendredi - Semaine 9

J'ai encore la tete toute chamboulée.
Et pourtant.

Il est arrivé à 12h15 precise. Pas un mot. Juste le bruit de ses vetements tombant au sol.
Puis sa langue est venu contre ma cuisse, remontant vers mon entrejambe. De ses mains il a ecarté mes fesses pour glisser sa langue sur ma chatte deja trempée. Quelques secondes plus tard, le bruit du preservatif que l'on ouvre; puis une main sur ma hanche et enfin il est entré en moi. J'ai juste laissé un "oh" s'echapper puis il a bougé en moi; lentement, prenant le temps de venir cogner au fond de moi avant de ressortir. Encore, puis encore. Longtemps. Sans jamais augmenter le rythme. Sans jamais dire quoi que ce soit.
Puis ma jouissance est montée, montée pour enfin exploser à ses oreilles. Il a attendu que mon corps se calme puis il est sorti de moi. Puis il est parti, me laissant debout contre ce bureau, encore tremblante. Il n'a pas joui. Enfin je ne le crois pas.

Et la, mon cheri n'a pas reussi a me redonner ce meme plaisir. Aurais je trop ce Maitre dans ma tete ?

jeudi 7 mai 2009

Jeudi - Semaine 9

09h00, J'ai reçu son message sur le site.

"12h15, tu seras à l'appart. Boules en toi. Tu enleveras tes vetements et tu m'attendras, masque en place, debout, les mains appuyées sur le bureau. Ce midi, je te baiserai."

Un frisson m'a parcourue en le lisant. Me baiser. Jusqu'a present il m'a touchée, m'a caressée, m'a faite jouir de ses mains, de sa bouche. Mais la, c'est different. Je ne sais pas si j'ai envie de sa queue en moi. Enfin si, je sais. Cela me fait peur, mais je sais. J'y serais.

Alors j'ai repondu : "Oui, Maitre".

mardi 5 mai 2009

Mardi - Semaine 9

08h45. Je suis arrivée en bas de l'immeuble. Quelques minutes plus tard, je decouvrais la jupe sur le lit, cette jupe noir posée sur le drap blanc du lit.
J'ai quitté mon pantalon. Il avait dit pas de culotte. J'ai pas mis de culotte. Juste un collant couleur chair. Comment mettre une jupe aussi courte sans rien dessous ... Enfin courte pour moi. Je me suis regardée dans la glace; Des chaussures à talons, pas tres hauts mais à talons quand meme, cette jupe à mi cuisse qui ne cache rien de mes jambes, cett jupe, mon chemisier blanc et ce manteau : tres serieuse, et meme chic. Je me suis trouvée sexy, un peu plus femme.

Et puis je suis arrivée au travail, café avec les collegues ... j'ai cru que j'allais rougir quand le premier m'a dit que j'etais tres feminine aujourd'hui, quand un autre m'a dit je t'avais pas reconnu immediatement dans le couloir...

10h00. Sur le site, camera allumée. j'ai laissé un message "je suis la". Et puis son message, cru, direct : "Ouvre tes jambes, montres moi ta chatte".
S'en ai suivi cette echange , "
- J AVAIS DIT PAS DE CULOTTE
- Je n'en ai pas, mais vous n'aviez pas dit sans collant.
- Tu es joueuse, tres bien . Ou sont les boules ?
- Pas tres loin.
- Tu vas les mettre maintenant, debrouille toi avec ton collant...
- Maintenant tout de suite ?
- Oui. Tu les garde toute la matinée. Je te regarde faire. Ce sera tout. Jeudi Matin tu auras de nouvelles instructions.
Bonne matinée."

J'ai ouvert le tiroir, ouvert le coffret discretement. Porte fermée, j'ai, tant bien que mal glissé l'objet sous mon collant, puis entre mes cuisses. Affalée sur mon fauteuil, je les ai mises en place. Ma main est restée quelques secondes au contact de mon sexe, le caressant, le frottant.

J'ai repris le travail tant bien que mal ... surtout bien.




lundi 4 mai 2009

Semaine 9 - Lundi

Mercredi, elle m'envoit un mail. Jeudi, elle me relance ...
Ce matin, elle laisse un message sur le site. Soit . Voyons un peu.

"Laure,
Puisque tu reviens vers moi. Demain matin, tu passeras à l'appart avant d'aller à ton travail.
Tu trouveras sur le lit, la jupe noire. Fais en sorte de t'habiller demain matin avec des vetements et chaussures qui iront avec cette jupe. Tu n'as pas besoin de culotte. Juste tes boules de geishas.
A 10h00, tu allumeras la camera.

Bonne journée.
Maitre."

mercredi 29 avril 2009

Mercredi - Semaine 8

Hier soir, je suis restée tres tard au travail. Faute à mon chéri qui de toute facon ne rentrait pas.
21h15. Je pianotais sur mon PC. Quelques documents imprimés et j'ai pris l'agrafeuse dans mon tiroir. Et j'ai vu la boite. La boite contenant son cadeau. J'avais essayé de ne pas penser à lui.
Pourquoi ai je fait ca ?

La lumiere du couloir etait eteinte; seul mon ecran eclairait mon bureau. Vide, calme. J'ai sorti ce jouet de son ecrin. Meme pas belle cette couleur pistache. Peut etre ce pour cela que j'ai voulu la faire disparaitre. J'ai remonté ma jupe longue, me suis affaissée dans mon fauteuil; De la salive sur mes doigts, j'ai preparé cet objet. Je me suis sentie obscene à deplacer ma culotte, ouvrir mes levres par cette pression, puis glisses ses boules en moi. Pas si grosses et pourtant pas si simples à installer. Mon inexperience. Et puis rien de transcendant. Deçue. Assise a mon bureau j'ai continué à travailler.

Et puis je me suis levée assez brusquement pour aller jusqu'a l'armoire ... deux malheureux metres... enfin pas si malheureux. Une sensation de roulement. Une vibration. Je crois avoir fait un "Oh". Surprenant cette sensation. Mais pas desagreable.
J'ai plié les affaires et suis partie prendre mon bus, mon métro. Progressivement cela a pris de l'ampleur. Les premiers pas, les mouvements du bus, un peu de calme dans le metro, pour terminer sur les derniers metres me menant à l'entrée de l'immeuble. Ma culotte etait trempée; j'ai quand meme pris l'escalier. A peine la porte fermée, je les ai quitté et me suis soulagée ...

Et j'ai ecrit un mot sur le site. Très court.
"J'ai essayé votre cadeau. Merci."

09h15. Ce matin il n'a toujours pas repondu.

lundi 27 avril 2009

Lundi - Semaine 8

09h00. Rien sur le site. Rien dans mes mails. Pas de textos.
Je lui ai pourtant envoyé un mail pour le remercier de son cadeau. Je ne m'en suis pas servi quand meme. Je suis meme allée jusqu'a laisser un message sur le site. Un site vide.
"Cher maitre,
Que dois-je faire des clés ? Que dois-je faire du "materiel" qui se trouve à mon bureau ?
Laure."

jeudi 23 avril 2009

Jeudi - Semaine 7

J'ai hesité. Toute la matinée j'ai hesité.
Et si il mentait. Et si tout cela n'etait encore qu'un moyen de pression supplementaire pour que je ne puisse plus refuser ses demandes. A 10h00, j'avais pris la decision de ne pas y aller. A 11h00, j'ai changé d'avis; Au pire il continuera, au mieux il tiendra sa parole. Qu'est ce que je risque de plus ?

A 12h00, je me suis donc rendue la-bas. Avec un quart d'heure d'avance. Sur le lit, une rose bleue posée en travers de l'oreiller. J'ai quitté ma veste, verifié que mon telephone etait eteint et ai defait mon pantalon devant la glace. J'ai vu mon reflet; ce chemisier blanc ne laissant apparaitre que le bas de mon shorty en dentelle couleur perle. Etais-ce une intuition quand je me suis habillée ce matin de choisir un sousvetement un brin sexy. Je me suis tournée vers le tiroir, attirée, comme pour voir si tout y etait encore. Oui, le vibro, le string, la nuisette, la robe, la jupe ... et les bas. Je n'en ai jamais portés. Des bas. Il n'y a peut etre qu'ici que j'en porterais. Je les ai essayés.
Face à la glace, je les ai enfilés. Un par un, n'osant pas trop les remonter trop de peur de les dechirer.
Sur la table de nuit, j'ai vu les menottes et le masque. Mon coeur s'est emballé quand j'ai vu un preservatif à coté. Ai je vraiment envie d'aller si loin ... meme une derniere fois ...
12h13. j'ai deposé la rose sur ma veste et suis allée m'allonger. Le "clic" de la premiere menotte à mon poignet. J'ai mis le masque sur mon visage. Les mains en arriere, je me suis attachée à la tete du lit. "Clic", me voila sienne.

De tres longues minutes. Puis le bruit d'une clé dans la porte. Puis la porte qui se ferme. Des pas. Froissements de vetements. Et puis une presence sur le lit.
Un baiser sur mes levres. Fraise, non cerise. Delicatesse d'avoir mastiqué un shewing gum.
"Bonjour Laure ... pas un mot ... ne dis rien. Quelle belle tenue".
Sa main sur mon visage. Legerement moite. Et puis les boutons de mon chemisier un par un ont cédé a ses doigts; sa main a glissé sur mon cou, ma poitrine, mon ventre puis est revenue sur mes seins. Sous le tissu de mon soutif, il a mis en emoi cette partie de mon corps, caressant, serrant, pinçant doucement; il a baissé la dentelle pour mettre à nu un sein. Puis l'autre. Le lit s'est un peu affaissé au meme moment ou je sentais la chaleur de sa langue sur un teton. Lechés, sucottés, mordu, mes seins ont repondu à cette caresse, tendus et sensible. Sa main qui decrivait de petits cercles autour de mon nombril est descendu sur mon shorty, sur ma chatte. Une pression sur ma cuisse m'a indiqué de m'ouvrir; le contact electrisant sur ces bas; j'ai ouvert mes jambes, ecarté completement mes cuisses. Il embouchait toujours mes seins quand sa main est remontée sur mon ventre pour disparaitre sous ma dentelle. J'ai ouvert ma bouche pour laisser echapper un premier souffle. Sa caresse, appuyée sur mes levres, plus douce sur mon clito, m' amenée dans un premier etat de plaisir. Mon souffle s'est transformé en haletement au fur et à mesure que ses doigts prenaient possession de mon intimité. Ma chatte, ses doigts; la temperature de la piece est montée en quelques minutes. Puis il a retiré sa main. Il a bougé sur le lit et ses mains ont retiré le rempart de dentelle.
Il s'est levé, a marché, s'est immobilisé, puis est revenu. Une odeur de vanille. Ses deux mains se sont posés sur mon ventre. De l'huile à la vanille. Il m'a massé le ventre jusqu'a la limite de mon soutif; il a surement remis de l'huile avant de m'enduire le haut de la cuisse denudée puis l'haine, puis mes levres. Sa main a glissé sous mes fesses et en remontant ,un doigt a parcouru mon sillon. La chaleur s'est envahit de mon sexe ainsi caressé et mon bourgeon s'est dressé. Je crois avoir miaulé de plaisir quand sa langue a touché mon bouton. Tout en me sucant, il m'a penetrée d'un doigt. Puis deux doigts dans un mouvement regulier, allant jusqu'au fond de moi. Je me suis sentie couler sur lui. Mes haletements se sont transformés en gemissements, de moins en moins dissimulés, je me suis laissé aller. Ses doigts ont été remplacés par sa langue qui s'est faite conquerante quand un doigt a caressé mon petit trou plissée.
"Détends toi" m'a t il dit en semblant se redresser. Son doigt a alors progréssé dans mon cul et s'est immobilisé. Puis il a repris d'assaut ma chatte de ses doigts pour me branler plus fort, plus vite; des petits mouvements dans mes fesses, facilités par l'huile. Il a acceléré le rythme, entre mes levres, provoquant une montée de mon plaisir jusqu'a me faire faillir et pousser a ses oreilles le cri de ma jouissance. J'ai joui. Une jouissance forte. Une jouissance bestiale.
Ses doigts ne bougeaient plus en moi. Il a posé un baisé sur mon petit buisson taillé.
"Reste ainsi pour l'instant".

J'ai compris qu'il partait. La porte a claquée. J'aurais pu m'endormir ainsi. Petit a petit, mon coeur a repris son rythme et je me suis detachée. Masque otée, je me suis levée, les jambes legerement vascillantes. Ma chatte trempée, mes levres gonflées, je n'ai pas voulu me laver de peur de me toucher.

J'ai fait glisser les bas, remis mon shorty, mon pantalon; rattaché mon chemisier.
Sur le bureau, la rose bleu, une carte et une boite enrubannée.

Sur la carte :"Merci, un petit cadeau. Ouvre le à ton bureau. Adieu, Signé Maitre".
Un peu d'eau sur mon visage, un geste pour me recoiffer et je suis repartie à mon bureau.

13h40. Assise à mon bureau, j'ouvre le paquet. Des boules de geisha. Un mot de lui juste en dessous. "A chaque fois que tu les glisseras en toi, tu penseras à moi. Ainsi je n'ai pas vraiment disparu. Mais tu es libre ...".
Connectée à Internet, le site ou il m'ecrivait n'a pas disparu mais il est vide. Je regarde la signification de la rose bleue :
Le bleu évoque aussi les rêves,l'évasion, l'imagination et la liberté.

Je ne sais pourquoi mais je me sens bizarre. Est ce encore les sensations de ce midi ...

Semaine 7 - jeudi

"Laure,
Puisque vous le prenez ainsi, soit.
Vous voulez que je vous laisse en paix. Tres bien. Dans ce cas, soyez une derniere fois à moi et le chantage dont je vous ai fait la victime s'arretera.
Ce midi, vous viendrez à l'appartement. Vous trouverez sur la table de nuit le masque et les menottes. Comme vous le constaterez les menottes s'ouvrent et se ferment sans clé; vous pourrez donc vous liberer à souhait.
Vous m'attendrez allongée sur le lit, masque sur les yeux, en ayant au préalable enlevée seulement votre pantalon. Vos mains seront attachées à la tete du lit au moyen des menottes. Je vous rejoindrai vers 12h15.
Bonne matinée,
Maitre."

mercredi 22 avril 2009

Mercredi - Semaine 7

J'ai obei. Je suis passée à l'appart.
J'ai ouvert ce tiroir. La jupe y etait. Une jupe très courte. Trop courte. Une jupe noire, legere, plissée. Je l'ai essayé puis remise dans le tiroir. Chemisier par dessus mon pantalon, je suis allée à mon travail. Je lui ai envoyé la reponse qu'il attendait en arrivant.
"Maitre,
Je ne lui refuse rien que je n'aime et qui me paraisse normal. C'est peut etre lui qui en attend trop. Quoiqu'il en soit, cela ne vous regarde pas.
Pour ce qui est de la jupe, je ne suis pas une exhibissionniste et n'ai donc pu acceder à votre demande.
Laure".

Semaine 7 - Mercredi

Elle m'a envoyé un mail !
A cause de moi, elle s'est pris le bec avec son cheri. Et alors ! Comme je lui ai repondu, elle n'avait qu'à le satisfaire et tout se serait bien passé. Moi qui lui organise une belle soirée, voila comment elle me remercie ! Mais comme on dit, il faut battre le fer tant qu'il est chaud ...
Je lui ai envoyé quelques recommandations hier soir :
"Laure,
Tu trouveras, dans le tiroir, Mercredi matin, une jupe. Tu la mettras avant d'aller au travail. Comme je ne suis pas en mesure de savoir quel sous-vetement tu porteras, tu les oteras et les laisseras dans le tiroir. Arrivée à ton travail, tu m'ecriras en quoi t'offrir TOUTE entiere est un probleme. Y aurait il des choses que tu lui refuses ?
Bonne matinée."

mardi 21 avril 2009

Mardi - Semaine 7

Quel salop ! Quel connard !
En rentrant hier soir, mon chéri avait un grand sourire sur le visage. Il m'a enserrée dans ses bras, embrassée torridement puis j'ai rien compris. Sa petite phrase "et tu veux diner ou alors ?". Il m'a proposé de m'emmener dans le petit resto pas tres loin de la maison, ambiance tamisée, un petit coin pour amoureux. C'est le "alors" qui m'a paru bizarre. Et puis il a rajouté "J'aime quand tu m'envoie des textos comme ca ... mais par TOUTE, tu pensais vraiment à toute toute".
Mon texto? Quel texto ? Au vue de ma mine déconfite, il sort son portable et me montre mon texto:
"Emmenes moi diner à l'exterieur ce soir, ensuite je serai à toi, toute à toi, vraiment TOUTE. bisous."
J'ai essayé de lui dire que c'est pas moi qui l'ai envoyé mais rien y fait, il me montre l'heure de reception du message, 12h30 ... et à cette heure la mon portable etait ... dans la poche de ma veste et moi ... SALOP ... il a du le prendre pendant que je ne voyais rien et le taper pendant que ...
Enfin, je bafouille à mon cheri que c'est quelqu'un qui a du me jouer un tour et que mon portable a du rester le midi sur mon bureau. Et la, le coup de massue :"
Moi qui pensais que tu voulais me faire plaisir. Ah, c'etait un peu trop beau, j'aurais du me douter". L'orage est monté progressivement, au debut juste des petits mots pas bien mechants, quelques piques, pour deferler en une phrase "Et de toute façon coté cul, c'est plutot devoir conjugal que kamasutra".
On est pas sorti. J'ai fait un truc à manger, il en a à peine manger. Il a dormi à droite, moi j'ai pas beaucoup dormi. Il est parti tot à son travail, moi je suis arrivée en retard. J'ai eteint le portable, j'ai essayé de travailler. Ca ira mieux ce soir.

lundi 20 avril 2009

Lundi - Semaine 7 - Retour ....

13h20. J'ai chaud. Encore chamboulée.

Etait-ce une surprise son SMS ? oui ... et non. Non car je savais qu'il rentrait aujourd'hui; Oui, car je ne pensais pas qu'il me demanderait de le rejoindre à l'appartement si tot.
J'avais beau essayer de penser à autre chose, mon coeur battait deja trop vite et il n'etait qu'à peine 10h. J'ai encore en tete ce midi ....

11h50. Je quitte mon bureau.
12h00. Dans l'appartement, rien n'a changé depuis Jeudi Midi. Le tiroir est tel que je l'ai laissée. Masque sorti, je fais les cents pas dans l'appart. Je suis inquiete, excitée mais inquiete. Mais qu'il fait chaud; j'entrouvre la fenetre et m'amuse à regarder les voilages bouger au gré du courant d'air.

Mon coeur s'emballe quand l'interphone sonne. Febrile, je le decroche et sans parler j'appuie sur le bouton. Trop tard pour reculer ou alors ... non trop tard,je tire la gachette de la porte, m'en retourne pres du fauteuil et enfile le masque. C'est fou ce que chaque bruit devient perceptible quand c'est le seul sens que l'on peut utiliser. Ses derniers pas sur le pallier se font entendre puis la porte que l'on referme.
"Bonjour Laure". Il est derriere moi. "Tu aurais pu te mettre à l'aise", me dit il en m'enlevant ma veste. A part mon bonjour, rien ne sort de ma bouche, je suis tetanisée au contact de ses mains qui sont deja sur mes hanches. Ses mains remontent jusqu'a mon cou pour me masser legerement les epaules et la nuque; elles sont chaudes, puissantes. Elles glissent sur mes bras et viennent se poser sur mon ventre, m'enlacant, puis remontent inexorablement sur ma poitrine jusqu'a mon cou. Sa bouche collée sur ma nuque, ses doigts ouvrent un par main les boutons de mon chemisier.
"Tu sens bon, Laure". Ces mots sont deposés dans mon oreille, d'une voix feutrée. Je n'ai deja plus mon chemisier qu'il degraffe mon soutif. Prenant ma main, il me fait marcher dans la piece puis m'immobilise.
"Si tu as froid, je peux fermer la fenetre". Froid !! non j'ai l'impression d'avoir chaud, que mes joues sont rouges. Je sens son soufle sur mon epaule et quand une de ses mains se pose sur mon ventre, j'ai un sursaut qui me colle à lui. Je n'ose bouger quand celle-ci glisse sur le tissu soyeux de mon pantalon et vient se loger contre ma chatte. Un mauvais reflexe et je crée un espace entre mes jambes dont il s'empare aussitot de sa main. Il appuie, caresse, masse mon sexe au travers des tissus l'en separant. A ce jeu la, il ne faut pas tres longtemps pour qu'il soit chaud et ma culotte subisse les premiers emois qui me parcourent. Je sens mes seins qui se tendent, qui me lancent. A croire qu'il le sait; ses deux mains s'emparent de ma poitrine, soupesent, evitent mes tetons, malaxent.
"Defais ton pantalon". Mes bras, jusque la immobiles le long de mon corps, obeissent à sa demande, et quand le zip de la braguette est baissé, elles retrouvent leur position pendant que le pantalon tombe de lui-meme au sol. Le bruit du matelas qui s'affaisse quand il s'assoit sur le lit. Une main derriere mon genou, l'autre deja entre mes cuisses; la tranche de sa main frotte le coton de ma culotte dans ma chatte. Je me sens deja mouillée, je ne peux laisser echapper le plaisir qu'il me donne. Mon clito se retrouve tres vite au contact du tissu qui l'irrite. Par ces mouvements appuyés, ma culotte est tirée entre mes fesses et son autre main vient appuyer dans mon sillon.
"Allonges toi". Comme un pantin, ma main dans la sienne, je m'exécute et à peine à l'horizontale, j'ouvre naturellement mes cuisses. Sa main decale le dernier rempart et ouvre la voie à ses doigts qui me penetrent. Doigts en moi, pouce contre mon bouton, il me branle energiquement et fait retentir ma jouissance dans la piece. Puis il s'arrete, remet ma culotte en place.
"Montre moi comment tu mouilles ta culotte". Prenant ma main opposée à lui, il l'amene sur mon sexe et la frotte pour me montrer ce qu'il attend de moi. Télécommandée, je continue le mouvement alors qu'il semble se lever.
D'abord le bruit d'un vetement qui tombe, le matelas qui se creuse au niveau de ma tete, puis une odeur de sexe monte à mes narines. Il me fait tourner la tete sur le coté et mes levres entrent en contact avec son sexe. "Suces moi". Mes levres s'ouvrent et il pousse sa queue à l'interieur de ma bouche. Lentement il va et vient. Me pince un sein de temps en temps. Il descend sa main vers mon antre sous ma culotte et me branle le clito alors que mes doigts continue de caresser mes levres, imbibant de mouille mon sous-vetement. Ma langue s'enroule autour de son gland et l'aspire jusqu'a ce qu' une chaleur envahisse ma bouche. Puis sur mes levres et ma joue, je sens couler sa semence.
"Continue de te branler". Je l'entends reprendre ses vetements, puis l'eau qui coule venant de la salle de bain. Puis plus rien. Les deux mains sur ma chatte, je me caresse. Puis le bruit de la porte qui se ferme. Je releve la tete: pas un bruit, je risque un "Maitre ?". Pas de reponse. J'enleve le masque pour voir qu'il est parti, me laissant ainsi. Debout, dans la glace, je vois une fille en culotte, une culotte auréolée, une fille avec le visage rubicond et du sperme qui coule encore sur la joue.

Semaine 7 - Lundi

09h00. Je regarde les images de l'appartement prises durant mon absence. quel regal !
Laure est venue à cet appartement; Pour quelqu'un qui ne se touchait pas, elle rattrape vite son retard. La voir ainsi sur le lit, se caresser , jouir ; dommage qu'il n'y ait pas le son ... si elle savait qu'elle etait observée, se livrerait elle de la sorte ?

09h30. Je zappe le site et lui envoie un SMS :
"12h00 à l'appart. Met le masque sur tes yeux quand je sonnerais et attend moi debout devant le fauteuil."

10h00. Je cherche sur internet un estheticien qui pratique l'epilation intime. Je crois bien que je vais lui prendre un Rendez-vous pour l'integrale.

jeudi 16 avril 2009

Jeudi - Semaine 6

14h30. J'ai l'impression de sentir mon odeur intime. Ce midi, j'ai joué avec le vibro. J'aime pas ce mot. God, non plus. Faut que je trouve un nom plus joli. Je me suis masturbée; tres lentement, longuement, le laissant juste vibrer en moi sans le toucher. Puis je l'ai mis a ma bouche, humant mes odeurs à pleines narines. Enivrant j'ai joui de mes doigts. Je me suis meme pas lavée. J'ai remis ma culotte en coton; je la sens deja humide.
J'ai fait la bise à un collegue; ce simple contact de ma bouche sur ses joues; si il savait la derniere chose qui a touché mes levres,emplit ma bouche, avant de l'embrasser.

mardi 14 avril 2009

Mardi - Semaine 6

09h00. Pas trop de monde au travail pour cette premiere semaine de vacances de Paques. Je me connecte sur le site. Rien. Pas un message. Pas un mot. Rien. J'etais prevenue mais ce petit jeu me manque depuis jeudi.
Pour avoir une pensée pour lui, j'ai mis une robe aujourd'hui. Moi en robe, c'est nouveau ca. Acheter ce samedi avec mon cheri. Les beaux jours arrivant. Ce matin je suis passée à l'appart. Curieuse, pour voir. Ce tiroir m'envoute. j'ai enlevé ma culotte en coton pour l'echanger contre ce string ouvert; drole de sensations. Chaque ouverture de mes cuisses semble insinuer encore plus chaque pan entre mes levres. Je crois que la chaleur va m'envahir un petit peu ce matin.

Il faudra que je pense à repasser me changer avant de rentrer.

jeudi 9 avril 2009

Jeudi - Semaine 5

12h00. J'ai decliné l'invitation de collegues pour aller dejeuner. Son dernier message m'a interpellé: de nouveaux vetements depuis hier, soit.

12h45. Je suis dans l'appart. Quel changement depuis hier. Le lit a été refait avec une parrure noire qui contraste avec le reste de la piece. Salle de Bain, Idem, les serviettes blanches ont été remplacées par de nouvelles bleues. Il y a bien une vie dans cet appart. Enfin une activité. Le tiroir a aussi été rangé: je fouille pour decouvrir ces vetements fraichement apportés.
Une nuisette en dentelle blanche quasiment transparente; un string coordonné; des bas. Tiens le vibro a disparu du tiroir.
Prenant ces bouts de tissu, je les pose sur le lit, tentée par un essayage. Nue, j'enfile le string; la dentelle blanche laisse apparaitre le triangle chatain ornant mon pubis. Nuisette passée, je me regarde dans la glace. De coté, de face, l'ensemble est tres jolie et me donne une allure tres ... provocatrice. Mes petits seins tendent legerement la dentelle, se dressent.
Me tournant pour me voir de dos, le vibro que je croyais disparu du tiroir m'apparait, posé sur la petite table a coté du lit. Je continue de me scruter de la tete au pied quand l'envie me prend d'aller vers cet objet si peu familier pour moi.
Assise sur le lit, le vibro dans les mains, je le touche, je le fais vibrer sur ma main, testant les differentes intensités. Un peu bruyant. Dans un premier geste, je le pose sur un teton contre la dentelle. La vibration n'est pas si agreable que ca a cet endroit; je le descend toujours plus bas pour le coller contre mon sexe; Vibrant de maniere non permanente, le contact est plus agreable. Mes joues rosissent lorsque je me decide à quitter cette culotte pour continuer ma decouverte de cet objet.
Allongée, je frotte le vibro sur mes levres. Tres sensible, la vibration me chatouillerait presque. De plus en plus detendue, il glisse et s'immisce en moi; au bout de quelques minutes, les premiers remous dans mon bas-ventre accelerent mon coeur; La tete puis le reste disparaissent dans mon antre pour en ressortir, puis me repenetre, puis ressort ... puis plus vite ... mon autre main fait ressortir mon bouton d'amour, joue avec, l'excite. Jusqu'a ce que tout s'emballe.
hummmm. Si il n'y avait pas cette vibration qui se propage dans la main quand on l'utilise ...

Petit pipi au toilettes, petite toilette intime. Un peu d'eau sur cet objet de plaisir. Je l'essuie, le range. Habillage, je retrouve ma tenue BCBG convenable et retourne au travail.
Midi instructif.

14h00.
"Maitre, Pour demain, je ne serais pas la non plus".

Semaine 5 - Jeudi

9h00. Laure est passée à l'appart. Je pensais qu'elle m'enverrait ballader. Plutot bon signe.
"Laure,
Qu'est ce que ca veut dire ? Ce que tu en feras entre autre.
La seule contrainte est qu'il doit etre libéré le Lundi matin et le Jeudi matin entre 9h00 et 11h30; Une femme de ménage passera à ces moments la. Dans la salle de bain, tu trouveras un panier à linge: si tu y deposes quelque chose, tu le retrouveras le lundi ou Jeudi midi suivant dans ton tiroir. Voila pour ce pied à terre.

Tu n'auras aucun message de ma part la semaine prochaine. Ce midi, je te laisse retourner Seule à l'appart essayer les quelques vetements mis dans le tiroir hier soir.
Pour Vendredi Midi, c'est toi qui decidera : Vendredi matin tu me diras si je te rejoins à 12h15 la-haut. Si tel est le cas, je sonnerais à l'interphone pour que tu m'ouvres. Tu laisseras la porte entre-ouverte et profiteras de ma montée pour mettre le masque de nuit sur tes yeux et m'attendre debout face au fauteuil. Rien ne se fera sans ton accord total.

Bon midi."

mercredi 8 avril 2009

Mercredi - Semaine 5

14h15. Un message de Maitre.
"A l'accueil, tu trouveras un paquet. Il contient 2 jeux de clés d'un studio situé à quelques pas de ton bureau. J'ai moi aussi un jeu de clé mais il est en depannage au cas ou. Va y faire un saut dans l'apres midi."

14h30. L'enveloppe m'attend bien. Des clés. Une adresse. Un plan. Remontant à mon bureau, j'enfile mon manteau et hélant un collegue :"je m'absente une petite demi-heure".
Plan en main, pas vraiment necessaire. Quelques centaines de metres à pied, je suis face à l'entrée. Je tape le code : le "griiiiinn" signifie l'ouverture. Cage d'escalier propre, pas d'ascenseur, 4 etages à grimper. Le nom sur la sonette me fait sourire : Monsieur Metlaur ! Clé en main, j'ouvre. Je referme a double tour derriere moi.
L'interieur est en opposition complete avec cet immeuble: Veillot à l'exterieur, Moderne à l'interieur. Enfin, Impersonnel est plus le mot : pour seul mobilier: un grand lit, une commode, un fauteuil, une cuisine americaine ridiculement petite, un coin bureau et une télé ! Je quitte mes chaussures pour ne pas abimer le parquet, je le manteau sur le lit; La piece doit faire 20m². Au fond une porte. Une salle de bain: douche, lavabo, pile de serviette pliée . L'appart semble tout neuf, tout refait, presque a sentir encore la peinture blanche qui domine dans la piece.
Sur la commode, une rose avec un mot. "Le premier tiroir et son contenu t'appartiennent". Vilaine curieuse, je l'ouvre. Suis-je surprise d'y trouver des accessoires sexuels: non. Une boite de capotes, un string "ouvert", des menottes. Un vibro attire mon attention, moi qui n'en ait jamais eu, ; couleur bleu vif, texture agreable au toucher.Sans le vouloir, je declenche son fonctionnement. Comme une gamine qui aurait fait une betise, j'essaie de l'arreter. Ouf, apres quelques pressions il se calme. Je le remet en place et explore ce tiroir. Un masque de nuit. Une robe soigneusement pliée.
"Son contenu m'appartient". Je déplie la robe; une robe blanche, tissu soyeu. Envie de l'essayer. Jean et chemisier à terre, j'enfile cette robe. Elle est à ma taille. Dans la glace je vois ma silouhette: la legereté de la matiere laisse apparaitre les marques de mes sous-vetements.
Deja 20 minutes que je suis la. Je me rhabille et rentre à mon bureau.

15h15. Clés soigneusement rangés dans mon tiroir, rose à plat sur mon bureau. Je me connecte sur le site et laisse un message.
"Qu'est ce que cela veut dire ?"


mardi 7 avril 2009

Mardi - Semaine 5

14h00. Et ce pull à meme mes seins qui me chatouille les tetons a chaque mouvement. Le pire, c'est que sa demande m'a donnée le sourire. 30 minutes avant de le voir. Que vais je lui dire?

14h30. Il est déja la. Toujours cette satanée visiere de baissée. Un blouson noir legerement ouvert, cravate, chemise à rayure fine, pantalon habillé et mocassin noir. Assez classe comme tenue de moto.
"Approche Laure". Sa main se faufile dans l'ouverture de mon manteau et va immediatement sous mon pull pour remonter sur un sein. Il caresse. Il malaxe. Il pince."C'est bien pour le haut". Sa main descend à mon entrejambe et ouvre la fermeture eclair. De moi-meme, j'ecarte legerement les jambes et sa main disparait dans l'ouverture créée."Alors etait ce agreable la derniere fois ?".
J'ai envie de lui dire non pour le contrarier mais ce qui sort de ma bouche n'est qu'un "oui" timide.
Sa main pourtant si agreable se retire et referme mon pantalon. Il descend alors de sa moto et se place dos à la rue, face à moi. "Glisse ta main dans mon pantalon". C'est lui qui s'empare de ma main et la guide vers sa ceinture.
Braguette baissée, je colle ma main contre le tissu qui me separe d'une erection naissante. Il ne dit rien. Je caresse. Je serre. Au cours d'un mouvement, mes doigts trouvent une ouverture et se retrouvent au contact direct de son sexe. je le masturbe. Il est dans ma main. Sous mes yeux. Sa bite est en dehors de son pantalon. Serrant fort, ma main se fait plus glissante sur son gland. Plus de 5 minutes que je m'active sur son vit et il ne dit rien. C'est moi qui le tient. C'est moi qui decide; enfin je croyais.
"Ta main va bientot etre poisseuse. Fait attention à mon pantalon. Sauf si ..."
Sauf si. Je sais ce que ca veut dire ca. Mais la, dans la rue. J'aurais du arreter la. j'aurais du hesiter. Au lieu de ca, je me suis accroupie devant lui. Je l'ai branlé fort en posant mes levres sur son gland. Il m'a pénétrée la bouche. J'ai aspiré, sucé, humidifié ; puis ma bouche s'est remplie. Il a relaché la pression sur ma tete.
A peine relevée, il avait deja rangé son outil, enfourché sa moto.
"Merci Laure". Son gout dans ma bouche, il a demarré en trombe et m'a laissée seule sur ce trottoir.

14h50. Je suis passée devant le lavabo et finalement suis revenue à mon bureau. J'ai son gout encore sur mon palais. Un gout d'indescence. Le gout de quelqu'un qui n'a meme pas essayé de dire non. Un gout qui va disparaitre.
J'ai passé un doigt dans ma braguette. Douce caresse. L'apres midi va etre longue.
J'ai aimé son Merci.

Semaine 5 - Mardi

11h00.
"Chere Laure,
Qu'es tu prete à faire pour que je reponde vraiment à ta question ? Disons que je sais beaucoup de choses sur lui aussi.
Je t'ai vue ce matin arrivant au travail; Ta tenue ne me convient pas du tout. Ce pantalon trop large, ce pull raz de cou et ton manteau ne te mette pas en valeur. Alors si dessus ce n'est pas satisfaisant nous allons faire en sorte que dessous le soit. Il n'y aura donc rien sous ton pantalon et rien sous ton pull.
A 14h30, tu me rejoindras a notre endroit habituel; culotte et soutif dans la poche de ton manteau. Tu en profiteras pour me dire de vive voix si tu as aimé notre seance de Mardi dernier. "

lundi 6 avril 2009

Lundi - Semaine 5

09h00. Nouvelle semaine. J'ai droit à une question. Je ne peux croire qu'il en sache autant sur moi, sans que l'on soit assez proche. Connait il mon cheri ? on verra bien sa reponse.
Me connectant sur le site, je vois mes nouvelles instructions; ou plutot ses interrogations.
"Aujourd'hui, j'attends juste une reponse. mais pas juste un oui ou un non. Le fais tu jouir dans ta bouche ?".

Encore un qui passe son temps sur les sites porno à regarder des videos ou cela se termine toujours comme ca. Comme si c'etait normal de le faire !
Non, ca n'arrive pas. Enfin, plus. Je me souviens, il y a 5 ou 6 ans, quand nous nous sommes mis ensemble avec mon chéri; nous ne vivions pas sous le meme toit. Lui à quelques centaines de kilometres, moi seule dans mon studio. A l'epoque, on s'arrangeait pour se voir quand j'etais "praticable", comme il disait en souriant. Il est arrivé que certaines fois, ce n'etait pas le cas; alors c'etait calin restreint, calin manuel. Et puis un soir, il m'a demandé de le sucer; je ne l'avais jamais fait. 25 ans et je n'avais jamais fait une pipe. Mais lui je l'aimais et j'ai eu envie de lui faire plaisir.
Lumiere allumée, il m'a regardé faire; me disant tout haut ce dont il avait envie. Jusqu'a ce "Continue plus vite mais t'es pas obligée d'avaler". A quattre pattes entre ses jambes, un flot acre et abondant a envahi ma bouche. Lui levant son bassin, appuyant doucement sur ma tete pour ne pas que j'extrait son sexe de ma bouche. J'ai avalé. Non pas contrainte mais un peu quand meme. C'etait pas bon. Pas immonde non plus. A Voir son visage aussi souriant et si content, il y a eu droit d'autres fois. Et puis, petit à petit, l'envie de lui faire a disparu. Alors maintenant il m'arrive de le prendre dans ma bouche mais jamais plus. Juste un préliminaire.

vendredi 3 avril 2009

Vendredi - Semaine 4

09H15. En retard cause reveil difficile. Je passe à l'accueil et un paquet m'attend bien.
Je découvre son contenu, son mot. Je suis pas super calée en informatique mais je suppose qu'il doit pas etre loin pour pouvoir recevoir les données de la camera. C'est bizarre, mais c'est ce qui me vient en premier à l'esprit; comme si je n'etais pas choquée de ce qu'il allait bien pouvoir me demander. Je crois que son "jeu" me plait un peu. Me plait bien peut etre meme.
09H40. Je recois des visiteurs dans mon bureau pour travailler.
09H55. L'alarme de mon agenda me signale qu'il me reste 5 minutes. Probleme ! je n'en ai pas fini avec mes visiteurs et cela risque de durer. Je me connecte au site et signale mon empechement.
"Impossible à 10H00. Je ne suis pas seule".
Quelques minutes plus tard, sa reponse ne va pas dans mon sens. "Pas mon probleme, allumes la et surveilles mes demandes".
Mes deux visiteurs sont en face de moi, de l'autre coté du bureau, eux aussi face à leur portable à taper les qelques informations que nous echangeons. Faisant tomber une feuille par terre, j'en profite pour allumer le boitier.
"Remontes ta jupe sur tes genoux". je fais glisser ma chaise completement sous le bureau pour me dissimuler et continuant a parler avec mes visiteurs, je tire sur le tissu de ma jupe jusqu'a sentir mes genous decouverts.
1 ou 2 minutes plus tard. "Bien, remontes encore et ouvres tes jambes". Aussi discretement que possible j'obtempere. Mes cuisses sont largement ouvertes et decouvertes, et ainsi installée rien ne doit echapper à l'oeil de la camera.
"C'est quoi cette culotte, j'avais dit LEGER ! puisque tu ne veux pas comprendre, enleves la !"
L'enlever , n'importe quoi !!! "Pas possible".
"J'ai dit enleves la ! trouve un moyen, tu as 5 minutes". Je ne reponds pas et continue à travailler avec mes interlocuteurs.
Quelques minutes s'ecoulent et mon portable sonne. Numero inconnu.
"J'attends" , me dit la voix a l'autre bout du fil. Il me faut une seconde pour realiser que c'est l'autre qui me parle. Face à mes visiteurs, je garde mon calme et tente de repondre au tel.
"Excusez moi, mais je ne suis pas seule, je peux vous rappeler plus tard ?"
"Non, tu vas t'excuser quelques secondes, aller aux toilettes et revenir sans ta culotte."
"Ca ne peut pas attendre ?"
"Non."
Il raccroche. Gênée mais excitée, je m'absente quelques minutes apres m'en etre excusée et reprend place à mon bureau. Remontant ma jupe, j'imagine maintenant la vue qu'il a sur mon intimité.
"Bien, le test est terminée. Tu peux eteindre la caméra. Ne remets pas ta culotte ce matin. A 15h, tu rallumeras, je ne te donnerais aucune instruction, je compte sur toi pour etre à la hauteur ; tu me montreras aussi ton cul. A 15h30, tu pourras eteindre."

14h15. reçu dans mon mail.



Semaine 4 - Vendredi

Hier soir avant de partir, je lui envoie sur son mail quelques instructions.
"Demain c'est jupe et dessous leger. Passe à l'accueil en arrivant".

J'ai preparé un colis que j'ai soigneusement deposé à son accueil avec un petit mot l'accompagnant:
"Comme tu le vois, il y a trois parties : un element adhesif d'un coté et velcro de l'autre, une alimentation et un boitier. Tu as bien compris que le boitier n'est autre qu'une camera sans fil. L'alimentation est la pour recharger la camera. L'element adhesif se colle sous ton bureau. Le coté Velcro te permettra d'accrocher le boitier et l'enlever.Je te passe le laïus technique mais avec cela je te verrais en direct. Enfin quand je dis te verrais, je pense à "verrais" ce que je te demanderais.
A 10h00 pile, nous ferons un test technique. tu allumeras la camera en enfoncant le bouton situé à l'arrière du boitier. Tu te connecteras sur le site et je te donnerais les instructions presque en instantanée. A tout à l'heure."

Vivement 10h.