La rencontre de Maitre et de Laure

Un homme, Une femme, des echanges.
Simplement un journal à deux faces.

MetLaur@live.fr

lundi 20 avril 2009

Lundi - Semaine 7 - Retour ....

13h20. J'ai chaud. Encore chamboulée.

Etait-ce une surprise son SMS ? oui ... et non. Non car je savais qu'il rentrait aujourd'hui; Oui, car je ne pensais pas qu'il me demanderait de le rejoindre à l'appartement si tot.
J'avais beau essayer de penser à autre chose, mon coeur battait deja trop vite et il n'etait qu'à peine 10h. J'ai encore en tete ce midi ....

11h50. Je quitte mon bureau.
12h00. Dans l'appartement, rien n'a changé depuis Jeudi Midi. Le tiroir est tel que je l'ai laissée. Masque sorti, je fais les cents pas dans l'appart. Je suis inquiete, excitée mais inquiete. Mais qu'il fait chaud; j'entrouvre la fenetre et m'amuse à regarder les voilages bouger au gré du courant d'air.

Mon coeur s'emballe quand l'interphone sonne. Febrile, je le decroche et sans parler j'appuie sur le bouton. Trop tard pour reculer ou alors ... non trop tard,je tire la gachette de la porte, m'en retourne pres du fauteuil et enfile le masque. C'est fou ce que chaque bruit devient perceptible quand c'est le seul sens que l'on peut utiliser. Ses derniers pas sur le pallier se font entendre puis la porte que l'on referme.
"Bonjour Laure". Il est derriere moi. "Tu aurais pu te mettre à l'aise", me dit il en m'enlevant ma veste. A part mon bonjour, rien ne sort de ma bouche, je suis tetanisée au contact de ses mains qui sont deja sur mes hanches. Ses mains remontent jusqu'a mon cou pour me masser legerement les epaules et la nuque; elles sont chaudes, puissantes. Elles glissent sur mes bras et viennent se poser sur mon ventre, m'enlacant, puis remontent inexorablement sur ma poitrine jusqu'a mon cou. Sa bouche collée sur ma nuque, ses doigts ouvrent un par main les boutons de mon chemisier.
"Tu sens bon, Laure". Ces mots sont deposés dans mon oreille, d'une voix feutrée. Je n'ai deja plus mon chemisier qu'il degraffe mon soutif. Prenant ma main, il me fait marcher dans la piece puis m'immobilise.
"Si tu as froid, je peux fermer la fenetre". Froid !! non j'ai l'impression d'avoir chaud, que mes joues sont rouges. Je sens son soufle sur mon epaule et quand une de ses mains se pose sur mon ventre, j'ai un sursaut qui me colle à lui. Je n'ose bouger quand celle-ci glisse sur le tissu soyeux de mon pantalon et vient se loger contre ma chatte. Un mauvais reflexe et je crée un espace entre mes jambes dont il s'empare aussitot de sa main. Il appuie, caresse, masse mon sexe au travers des tissus l'en separant. A ce jeu la, il ne faut pas tres longtemps pour qu'il soit chaud et ma culotte subisse les premiers emois qui me parcourent. Je sens mes seins qui se tendent, qui me lancent. A croire qu'il le sait; ses deux mains s'emparent de ma poitrine, soupesent, evitent mes tetons, malaxent.
"Defais ton pantalon". Mes bras, jusque la immobiles le long de mon corps, obeissent à sa demande, et quand le zip de la braguette est baissé, elles retrouvent leur position pendant que le pantalon tombe de lui-meme au sol. Le bruit du matelas qui s'affaisse quand il s'assoit sur le lit. Une main derriere mon genou, l'autre deja entre mes cuisses; la tranche de sa main frotte le coton de ma culotte dans ma chatte. Je me sens deja mouillée, je ne peux laisser echapper le plaisir qu'il me donne. Mon clito se retrouve tres vite au contact du tissu qui l'irrite. Par ces mouvements appuyés, ma culotte est tirée entre mes fesses et son autre main vient appuyer dans mon sillon.
"Allonges toi". Comme un pantin, ma main dans la sienne, je m'exécute et à peine à l'horizontale, j'ouvre naturellement mes cuisses. Sa main decale le dernier rempart et ouvre la voie à ses doigts qui me penetrent. Doigts en moi, pouce contre mon bouton, il me branle energiquement et fait retentir ma jouissance dans la piece. Puis il s'arrete, remet ma culotte en place.
"Montre moi comment tu mouilles ta culotte". Prenant ma main opposée à lui, il l'amene sur mon sexe et la frotte pour me montrer ce qu'il attend de moi. Télécommandée, je continue le mouvement alors qu'il semble se lever.
D'abord le bruit d'un vetement qui tombe, le matelas qui se creuse au niveau de ma tete, puis une odeur de sexe monte à mes narines. Il me fait tourner la tete sur le coté et mes levres entrent en contact avec son sexe. "Suces moi". Mes levres s'ouvrent et il pousse sa queue à l'interieur de ma bouche. Lentement il va et vient. Me pince un sein de temps en temps. Il descend sa main vers mon antre sous ma culotte et me branle le clito alors que mes doigts continue de caresser mes levres, imbibant de mouille mon sous-vetement. Ma langue s'enroule autour de son gland et l'aspire jusqu'a ce qu' une chaleur envahisse ma bouche. Puis sur mes levres et ma joue, je sens couler sa semence.
"Continue de te branler". Je l'entends reprendre ses vetements, puis l'eau qui coule venant de la salle de bain. Puis plus rien. Les deux mains sur ma chatte, je me caresse. Puis le bruit de la porte qui se ferme. Je releve la tete: pas un bruit, je risque un "Maitre ?". Pas de reponse. J'enleve le masque pour voir qu'il est parti, me laissant ainsi. Debout, dans la glace, je vois une fille en culotte, une culotte auréolée, une fille avec le visage rubicond et du sperme qui coule encore sur la joue.

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