La rencontre de Maitre et de Laure

Un homme, Une femme, des echanges.
Simplement un journal à deux faces.

MetLaur@live.fr

mardi 7 avril 2009

Mardi - Semaine 5

14h00. Et ce pull à meme mes seins qui me chatouille les tetons a chaque mouvement. Le pire, c'est que sa demande m'a donnée le sourire. 30 minutes avant de le voir. Que vais je lui dire?

14h30. Il est déja la. Toujours cette satanée visiere de baissée. Un blouson noir legerement ouvert, cravate, chemise à rayure fine, pantalon habillé et mocassin noir. Assez classe comme tenue de moto.
"Approche Laure". Sa main se faufile dans l'ouverture de mon manteau et va immediatement sous mon pull pour remonter sur un sein. Il caresse. Il malaxe. Il pince."C'est bien pour le haut". Sa main descend à mon entrejambe et ouvre la fermeture eclair. De moi-meme, j'ecarte legerement les jambes et sa main disparait dans l'ouverture créée."Alors etait ce agreable la derniere fois ?".
J'ai envie de lui dire non pour le contrarier mais ce qui sort de ma bouche n'est qu'un "oui" timide.
Sa main pourtant si agreable se retire et referme mon pantalon. Il descend alors de sa moto et se place dos à la rue, face à moi. "Glisse ta main dans mon pantalon". C'est lui qui s'empare de ma main et la guide vers sa ceinture.
Braguette baissée, je colle ma main contre le tissu qui me separe d'une erection naissante. Il ne dit rien. Je caresse. Je serre. Au cours d'un mouvement, mes doigts trouvent une ouverture et se retrouvent au contact direct de son sexe. je le masturbe. Il est dans ma main. Sous mes yeux. Sa bite est en dehors de son pantalon. Serrant fort, ma main se fait plus glissante sur son gland. Plus de 5 minutes que je m'active sur son vit et il ne dit rien. C'est moi qui le tient. C'est moi qui decide; enfin je croyais.
"Ta main va bientot etre poisseuse. Fait attention à mon pantalon. Sauf si ..."
Sauf si. Je sais ce que ca veut dire ca. Mais la, dans la rue. J'aurais du arreter la. j'aurais du hesiter. Au lieu de ca, je me suis accroupie devant lui. Je l'ai branlé fort en posant mes levres sur son gland. Il m'a pénétrée la bouche. J'ai aspiré, sucé, humidifié ; puis ma bouche s'est remplie. Il a relaché la pression sur ma tete.
A peine relevée, il avait deja rangé son outil, enfourché sa moto.
"Merci Laure". Son gout dans ma bouche, il a demarré en trombe et m'a laissée seule sur ce trottoir.

14h50. Je suis passée devant le lavabo et finalement suis revenue à mon bureau. J'ai son gout encore sur mon palais. Un gout d'indescence. Le gout de quelqu'un qui n'a meme pas essayé de dire non. Un gout qui va disparaitre.
J'ai passé un doigt dans ma braguette. Douce caresse. L'apres midi va etre longue.
J'ai aimé son Merci.

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