08h50. Elle est arrivée en avance. Sa jupe longue, sa veste courte; quelle allure.
Moto sur bequille, je l'attendais en fumant ma cigarette; mentoniere du casque relevée et visiere noire baissée, elle ne pouvait voir que le bas de mon visage.
"Montes derriere. T'inquietes pas on va nulle part."
Assise, j'ai glissé ma main à plat entre son bassin et la selle. "Arrange ta jupe et tiens toi au poignées arrieres". Sitot dit, ma main se retrouva sous celle-ci; elle alléga son bassin et je fus en contact avec le tissu me separant de son antre. "Frottes toi". D'abord timidement, elle oscilla d'avant en arriere; puis, ses mouvements devinrent plus appuyés, legerement circulaires.
"Attends, leves ton bassin". A ces mots, Laure s'immobilisa et mes doigts deplacerent son dessous sur le coté, laissant ainsi libre acces à sa chatte à la chaleur agreable. Ma main parcourut alors ses levres et un doigt glissa un peu plus entres ses levres. "Continues maintenant". Au premier mouvement de son bassin, mon doigt s'engouffra au fond d'elle; elle eut un instant d'hésitation puis reprit ses va et vient. Quand un deuxieme doigt se joint au premier, elle laissa echapper un bruit de sa bouche; son antre m'etait maintenant et mes doigts glissaient dans cette douce chaleur qui s'humidifiait au fil de ses dehanchements.
Je remis ma main à plat et la laissait aller. "Colles toi plus à moi". Par son mouvement, ma paume de main s'ecrasa sur ses levres et mon majeur se retrouva a hautreur de son petit trou; elle se recula immediatement quand celui se fit inquisiteur; "Pas ca non". Deux doigts reprirent possession de son initimité et elle accelera elle-meme le rythme.
Dans un geste obscene, je retirai ma main de son entrejambe et presentait mes doigts à sa bouche. Ouvrant les levres pour parler, mes doigts penetrerent sa bouche et elle fut obligée de les sucer.
"Tu peux descendre, bonne journée Laure".
Face à moi, les joues encore rosies, elle balbutia quelques mots :"Et ma question ?".
"Tu auras ta reponse en fin de matinée".09h05.
A mes mots, elle partit. L'idée que son string etait toujours sur le coté me fit sourire.
Moto sur bequille, je l'attendais en fumant ma cigarette; mentoniere du casque relevée et visiere noire baissée, elle ne pouvait voir que le bas de mon visage.
"Montes derriere. T'inquietes pas on va nulle part."
Assise, j'ai glissé ma main à plat entre son bassin et la selle. "Arrange ta jupe et tiens toi au poignées arrieres". Sitot dit, ma main se retrouva sous celle-ci; elle alléga son bassin et je fus en contact avec le tissu me separant de son antre. "Frottes toi". D'abord timidement, elle oscilla d'avant en arriere; puis, ses mouvements devinrent plus appuyés, legerement circulaires.
"Attends, leves ton bassin". A ces mots, Laure s'immobilisa et mes doigts deplacerent son dessous sur le coté, laissant ainsi libre acces à sa chatte à la chaleur agreable. Ma main parcourut alors ses levres et un doigt glissa un peu plus entres ses levres. "Continues maintenant". Au premier mouvement de son bassin, mon doigt s'engouffra au fond d'elle; elle eut un instant d'hésitation puis reprit ses va et vient. Quand un deuxieme doigt se joint au premier, elle laissa echapper un bruit de sa bouche; son antre m'etait maintenant et mes doigts glissaient dans cette douce chaleur qui s'humidifiait au fil de ses dehanchements.
Je remis ma main à plat et la laissait aller. "Colles toi plus à moi". Par son mouvement, ma paume de main s'ecrasa sur ses levres et mon majeur se retrouva a hautreur de son petit trou; elle se recula immediatement quand celui se fit inquisiteur; "Pas ca non". Deux doigts reprirent possession de son initimité et elle accelera elle-meme le rythme.
Dans un geste obscene, je retirai ma main de son entrejambe et presentait mes doigts à sa bouche. Ouvrant les levres pour parler, mes doigts penetrerent sa bouche et elle fut obligée de les sucer.
"Tu peux descendre, bonne journée Laure".
Face à moi, les joues encore rosies, elle balbutia quelques mots :"Et ma question ?".
"Tu auras ta reponse en fin de matinée".09h05.
A mes mots, elle partit. L'idée que son string etait toujours sur le coté me fit sourire.