La rencontre de Maitre et de Laure

Un homme, Une femme, des echanges.
Simplement un journal à deux faces.

MetLaur@live.fr

vendredi 12 juin 2009

Ce Mercredi 10 Juin

Mais quelle idée !!!

Ce matin la, je me suis habillée pour lui, pour mon Maitre. Il faisait frais. Un Tailleur et sa jupe, un chemisier, un joli soutien-gorge en dentelle blanche, des bas autofixants et ... pas de sous-vetement sous ma jupe. Des petits talons en guise de chaussure me faisaient sentir tres femme.
Je suis partie travailler comme à mon habitude. Quelques instants de marche, puis le bus. Debout je me sentais épiée, non regardée. Puis quelques minutes de marche avant d'arriver à mon bureau.

Enfin, je n'y suis jamais arrivée à mon bureau.

A peine descendue du Bus, je me suis sentie fatiguée d'abord. Puis, apres quelques metres, un premier vertige qui me fit palir. Au lieu de m'arreter, j'ai preferré accelerer le pas pour retrouver plus rapidement mon bureau. Grosse Erreur, deux pas et la tete me tourna avant que je ne m'effondre au sol devant des passants quelques peu indifferent.

J'ai mis un moment à reprendre mes esprits. Un jeune homme m'avait aidée à m'assoir sur un banc tout proche et il attendit l'arrivée des pompiers avant de me souhaiter un bon retablissement. Ceux ci arrivant, ils me firent monter dans leur camion.

Premier constat, rien de trop grave, la hanche douloureuse, le coude endolori, la veste et la jupe abimée, mais rien de bien alarmant jusqu'a ce que le pompier "medecin" me demande d'enlever ma veste et ma jupe pour me soigner la hanche tout eraflée ... je vous laisse deviner la couleur de mon visage quand j'ai compris l'erreur de ce matin. Meme si c'etait une femme ! Devoilée ma nudité me mis tres mal à l'aise.
"Ne soyez pas mal à l'aise", me dit elle comprenant à moitié mon desarroi.
Quand j'otais ma jupe, elle sourit ne me voyant rouge pivoine. "Ca m'arrive aussi" rit elle ...
Elle me mit un peu de Mercurochrome, un pansement et me rendit ma jupe.
"Vous devriez pouvoir la remettre ..."


Les pompiers m'emmenerent à l'hopital pour une prise de sang et verifier qu'il n'y avait pas de souci. Ce fut fait rapidement. Et commenca l'attente.

Presque 2 heures plus tard, un medecin me fit entrer dans une salle d'examen. Me questionna, verifia ma tension, verifia qu'il n'y avait rien de grave. Et puis ce fut le choc :
"Ne vous inquietez pas, Votre etourdissement vient surement de votre grossese mais il n'y aura pas de consequence pour celle-ci, vous pouvez etre rassurée".
"Ma grossesse ... ???? " ai je demandé.
Oui , suite au examen sanguin, ce medecin m'a annoncée que je serais Maman... Je n'ai su comment le prendre. Contente, heureuse, tout simplement deboussolée de cette annonce. Je n'y etais pas preparée.

J'ai appelé mon cheri pour qu'il vienne me chercher à l'hopital. Ce ne fut que dans la maison que je lui ai annoncé l'heureuse nouvelle .... Il a passé la journée avec moi et nous avons feté l'evenement imprévu ensemble.

Ce matin, j'ai envoyé un mail à mon Maitre.

Maitre, les clés de l'appartement sont à l'accueil.
Un pli pour Monsieur Metlaur.
Votre emprise sur moi ne peut continuer, je vais etre Maman.

Merci,
Votre Laure.

mardi 2 juin 2009

Mardi - Semaine 13

"Emmene le flacon d'huile chez toi, tu trouveras bien un moment pour t'en servir."
Voila le message qu'il m'a laissé vendredi matin. Comme un idiote, je suis passée à l'appart chercher le flacon le midi. Il pense à tout. Sur la commode, un flacon neuf dans son emballage m'attendait. En debut d'apres midi, j'avais un message de mon Maitre, me disant juste que j'etais tres obeissante et qu'il attendait encore mieux de moi en cette fin de semaine.

Samedi soir, on etait tous les deux, avec mon cheri, dans la chambre; lui écoutant de la musique, moi lisant une revue. Allongée sur le dos, il me caressait doucement le cou quand je lui ai demandé :

"Je suis pas contre un petit massage ...y a meme de l'huile dans la salle de bain si tu veux bien.".
Il est venu s'assoir sur mes fesses. Il a étalé l'huile sur mon corps. Ses mains ont massé longuement mes epaules avant de descendre sur mes omoplates et le bas de mon dos. Ses mains se faisaient moins pressantes, plus calines, disparaissant regulierement sous l'elastique de mon shorty.
Shorty qui fut enlevé quelques secondes plus tard. Moi nue, lui nu, il se reinstalla sur mes fesses, ou plutot sur le haut de mes cuisses. Il remis de l'huile sur ses mains et me caressa les fesses. Je sentais sa main plonger entre mes cuisses, je sentais son sexe frotter contre mes fesses.
Tres vite, j'abandonnais ma lecture pour passer une main dans mon dos et emprisonner sa queue entre mes doigts. Ce fut le declencheur; Mon cheri se mit a onduler son bassin pour que je le masturbe dans ma main. L'huile chauffait ma main, chauffait son sexe. L'odeur de vanille emplissait la chambre, la temperature montait. Il se leva pour ouvrir la fenetre.
Quand il revint, il placa mes mains le long de mon corps et reprit ses massages: des mains fermes sur mes epaules et son sexe qui coulissait dans mon sillon. Je me cambrais pour appuyer sa caresse ... son gland allait et venait; tapant mon oeillet de temps à autre sans jamais me penetrer.
"Bouge plus", lui dis-je. Son sexe en main, je le frottais contre fesses, je le frottais contre mon anus lubrifié par l'huile. Il se laissa faire. Baissant son sexe dans mon sillon, celui-ci vint pointer directement contre ma rosette. Je retirais ma main et ecartais un peu les cuisses en signe d'accord.
Il ne lui en fallut pas plus pour comprendre que je l'autorisais à me prendre ainsi. A me sodomiser. A m'enculer.
Les dents serrées, la gorge nouée, c'est avec douleur que je subis ses assauts; lente progression en moi, puis les premiers mouvements, puis une chevauchée moins douce et pour finir les derniers coups de reins violents dans mon cul; tout ca pour me bruler en dechargeant dans mon derriere. Définitivement, je n'aime pas ca ...
Il s'est allongé sur moi et m'a sussuré à l'oreille:"Merci ma cheri, c'est une belle surprise, un joli cadeau".