La rencontre de Maitre et de Laure

Un homme, Une femme, des echanges.
Simplement un journal à deux faces.

MetLaur@live.fr

mardi 2 juin 2009

Mardi - Semaine 13

"Emmene le flacon d'huile chez toi, tu trouveras bien un moment pour t'en servir."
Voila le message qu'il m'a laissé vendredi matin. Comme un idiote, je suis passée à l'appart chercher le flacon le midi. Il pense à tout. Sur la commode, un flacon neuf dans son emballage m'attendait. En debut d'apres midi, j'avais un message de mon Maitre, me disant juste que j'etais tres obeissante et qu'il attendait encore mieux de moi en cette fin de semaine.

Samedi soir, on etait tous les deux, avec mon cheri, dans la chambre; lui écoutant de la musique, moi lisant une revue. Allongée sur le dos, il me caressait doucement le cou quand je lui ai demandé :

"Je suis pas contre un petit massage ...y a meme de l'huile dans la salle de bain si tu veux bien.".
Il est venu s'assoir sur mes fesses. Il a étalé l'huile sur mon corps. Ses mains ont massé longuement mes epaules avant de descendre sur mes omoplates et le bas de mon dos. Ses mains se faisaient moins pressantes, plus calines, disparaissant regulierement sous l'elastique de mon shorty.
Shorty qui fut enlevé quelques secondes plus tard. Moi nue, lui nu, il se reinstalla sur mes fesses, ou plutot sur le haut de mes cuisses. Il remis de l'huile sur ses mains et me caressa les fesses. Je sentais sa main plonger entre mes cuisses, je sentais son sexe frotter contre mes fesses.
Tres vite, j'abandonnais ma lecture pour passer une main dans mon dos et emprisonner sa queue entre mes doigts. Ce fut le declencheur; Mon cheri se mit a onduler son bassin pour que je le masturbe dans ma main. L'huile chauffait ma main, chauffait son sexe. L'odeur de vanille emplissait la chambre, la temperature montait. Il se leva pour ouvrir la fenetre.
Quand il revint, il placa mes mains le long de mon corps et reprit ses massages: des mains fermes sur mes epaules et son sexe qui coulissait dans mon sillon. Je me cambrais pour appuyer sa caresse ... son gland allait et venait; tapant mon oeillet de temps à autre sans jamais me penetrer.
"Bouge plus", lui dis-je. Son sexe en main, je le frottais contre fesses, je le frottais contre mon anus lubrifié par l'huile. Il se laissa faire. Baissant son sexe dans mon sillon, celui-ci vint pointer directement contre ma rosette. Je retirais ma main et ecartais un peu les cuisses en signe d'accord.
Il ne lui en fallut pas plus pour comprendre que je l'autorisais à me prendre ainsi. A me sodomiser. A m'enculer.
Les dents serrées, la gorge nouée, c'est avec douleur que je subis ses assauts; lente progression en moi, puis les premiers mouvements, puis une chevauchée moins douce et pour finir les derniers coups de reins violents dans mon cul; tout ca pour me bruler en dechargeant dans mon derriere. Définitivement, je n'aime pas ca ...
Il s'est allongé sur moi et m'a sussuré à l'oreille:"Merci ma cheri, c'est une belle surprise, un joli cadeau".


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