La rencontre de Maitre et de Laure

Un homme, Une femme, des echanges.
Simplement un journal à deux faces.

MetLaur@live.fr

jeudi 28 mai 2009

Jeudi - Semaine 12

3 jours que j'attendais qu'il me dise quelque chose. 3 jours que j'avais en tete son depart impromptu.
Hier soir, il m'a laissé un message sur le site. Un message tres clair.
"Viens demain à 12h00 ou ne viens plus". Rien d'autre.
Cela m'a trottée dans la tete une bonne partie de la soirée.
Ce matin, en m'habillant, je savais que j'irais; quelques soient ses intentions à mon égard. J'ai ouvert mon placard pour choisir une jupe, une jupe plissée grise, un chemisier noir. coté sous-vetements, j'ai pris ce mini string, j'ai sorti un collant puis l'ai rangé; j'ai pas mis de soutif. Mon cheri ù'a fait un baiser dans le cou ... me disant que j'etais tres belle; j'ai rougi, rougi car je me suis dite "si il savait ...".
J'ai attendu, tendue, que la matinée se passe. Jusqu'à 11h50, heure à laquelle j'ai fermé mon bureau pour partir le rejoindre.
La clé dans la serrure, j'ai ouvert la porte à l'heure à laquelle il m'avait donné rendez vous. Il etait deja la ! Assis dans le fauteuil, il m'attendait. Mon coeur s'est mis à battre à 300 à l'heure. Assis, les bras sur les accoudoirs, en costume, avec un masque de pierrot sur le visage ... un masque blanc immaculé sans la larme noire habituellement sous l'oeil. Le masque lui cachait le haut du visage , seule sa bouche et ses cheveux etaient visible. Ses yeux marrons, son regard tranchaient avec la paleur du reste.
Il me fit signe de la main de m'approcher, sans dire mot. Planté debout devant lui, il me prit mon sac pour le poser à terre; me fit comprendre d'enlever mon manteau en ouvrant un pan de celui-ci.
Ces mains se poserent sur mes genous et me fixant dans les yeux , il les remonta sous ma jupe contre mon sexe. Je fermais les yeux. Il m'ordonna de les ouvrir. Il defit le bouton sur le coté de ma jupe, fit glisser le zip pour la laisser tomber à mes pieds.
"Enleve ton chemisier". Aussitot dit, mes doigts s'attaquerent à la boutonniere puis le chemisier fut enlever.
Il se leva et alla vers le tiroir d'ou il sortit un godmichet long, souple et transparent. Puis il se rassit face à moi. il frotta le tissu de mon string contre mon sexe deja bouillonnant. Je me sentais deja defaillir a ce contact; il ecarta le tissu sans l'oter et me planta ses doigts au fond de mes chairs. Des mouvements profonds, lents, insistants ... Il retira ses doigts et les porta à sa bouche pour les sucer dans un geste obscene.
Le god posé a coté de lui, vient remplacer ses doigts. Il l'enfonca jusqu'a en faire disparaitre le premier tiers ... ce qui simulait deja un membre respectable ...
"Va te branler sur le lit en me regardant". Les pomettes rouges cramoisies, je m'executais. Il me laissa ainsi quelques minutes sur le lit, lui ne bougeant pas d'un minimetre dans son fauteuil. Puis d'un doigt, il me designa le flacon d'huile sur la table de chevet. Sans qu'il n'ait a me le dire, je compris qu'il souhaitait que je m'en enduise mon oeillet. L'odeur de vanille, puis cette sensation de chaleur sur mon petit trou.
"Enfonce toi l'autre coté dans le cul". La gene, la honte, la peur m'envahit. Mais relevant la jambe, je fis plier le god et reussit à poser l'autre extremité de ce phallus sur mon anus. Le god glissait entre mes doigts poisseux; poisseux de l'huile, poisseux de mon jus. J'etais en train de m'enculer ... pas quelqu'un d'autre, non, moi !
En peu de temps, il ne restait de visible que la partie coudée du god. Les muqueuses distandues, je ne sentais meme plus cette presence dans ma chatte, mon cul m'omnibulait.
Il se leva. A genou devant le lit, il s'empara de cette partie visible et la fit coulisser en moi. Doucement il tirait ce latex, puis le repoussait en moi, me faisant gemir a la fois de plaisir et de douleur. Allongée, je soulevais les fesses et il en profitait pour me forcer encore plus le derriere.
Le poussant une fois encore en moi, il me fit m'assoir sur le bord du lit, m'appuyant encore plus sur ce phallus. Debout devant moi, je lui ai defait sa braguette, pour une raison inconnue, pour me faire garce surement. La chaleur de sa queue contre mon palais. Il m'a tiré les cheveux pour me baiser la bouche. Excitée, je remuais mon bassin, creant une vague de plaisir dans mes reins, dans mon antre. Il m'a laissé poser ma main sur son sexe; je l'ai branlé dans ma bouche; je l'ai aspiré ; je l'ai enfoncé a m'en faire remonter la bile. Et puis mon ventre s'est contracté, j'ai joui ... j'ai joui sans qu'il ne me touche. Alors je l'ai aspiré encore plus fort. Je l'ai aspiré jusqu'a sentir des soubressauts sur sa queue. jusqu'a ce qu'il m'inonde le palais , qu'il se deverse sur ma langue. J'ai avalé sans le sortir de ma bouche. Son bassin se projetant toujours plus loin. Il a joui bruyamment.
Je l'ai sucé encore. je l'ai nettoyé avant de remettre son sexe dans son pantalon.
Il a remis sa veste. Il est parti.
Je me suis effondrée sur le lit, tete en arriere et j'ai sourit. j'ai sourit puis j'ai ri. Un rire nerveux. Je crois avoir eu un vrai orgasme.

2 commentaires:

  1. Oh Laure quel orgasme! Cela me rendrait presque jalouse... Mais je suis ravie de constater que tu te laisses aller à autant de plaisir...
    Bisous chère Laure, et si tu as l'occasion, glisse un bonjour de ma part à ton Maitre... bisous

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  2. Bonjour Laure,
    Je découvre ton blog aujourd'hui même!
    Très bien écris et sans détour ,j'en redemande
    et souhaiterai etre a ta place!
    Et c'est avec une grande exitation que reviendrai pour te lire.
    Fanny

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