La rencontre de Maitre et de Laure

Un homme, Une femme, des echanges.
Simplement un journal à deux faces.

MetLaur@live.fr

lundi 18 mai 2009

Lundi - Semaine 11

La journée de Jeudi fut longue. Cette tenue. Les regards des collegues.

18h00. Je suis arrivée la premiere à la maison. Pour me changer les idées, j'ai preparé le repas. Il est arrivé quand j'etais dans la cuisine à eplucher des pommes de terre. Un baiser rapide mais il est resté dans la cuisine.
-Tu t'es faite belle pour aller au travail, dis-moi ?
-Non, je me suis changée eu travail avant de partir. J'ai acheté la robe ce midi. Elle te plait, je voulais te faire une surprise.
-Alors c'est une belle surprise, ma cherie. Si je m'ecoutait, je te l'enleverais bien et ton collant avec ...
-Qui te dit que j'ai un collant ?

Il s'est approché de moi avec un petit rictus sur le visage. Entre la surprise et l'interrogation. Il a posé ses levres dans mon cou et a posé ses mains sur mes hanches. Tournant ma tete, il a glissé sa langue dans ma bouche. J'ai posé ce que j'avais dans mes mains, me suis appuyée sur son corps et ai laissé mes mains venir contre ses hanches. "Je te plais ?". Pour toute reponse, j'ai senti ses mains se saisir de ma poitrine et frotter le tissu si fin contre mes seins. J'avais envie de lui. Mes mains sont venus se poser sur sa ceinture, sur sa braguette, pour l'ouvrir et plonger dans son pantalon.
"Tu n'as pas de soutif ???"
"Non plus" lui ai je repondu d'une voix douce.
Sa queue durcicait deja entre mes doigts. Je le caressais, le serrais dans la paume de ma main. Ma reponse eut pour effet de lui faire glisser ses mains sur mes cuisses pour me remonter ma robe et decouvrir l'insolence de ma tenue. Son humm me fit rougir.
"J'ai envie de toi maintenant" me murmura t-il à l'oreille.
Me retournant face à lui, je defis sa ceinture et son pantalon. Puis accroupie, je l'aidais à quitter ce vetement tombé à ses chevilles. Il attrapa de lui meme son boxer et fit jaillir sa queue tendue devant mon visage. J'eu envie d'y poser mes levres. De le prendre. De l'aspirer au fond de ma bouche. Je salivais. Je le frottais contre l'interieur de mes joues. J'ai levé la tete pour le regarder. Il me regardait. Il me releva et fit passer ma robe par dessus mes epaules puis mes bras. En porte-jaretelles et bas devant lui, il sourit. Sa main attrapa la mienne et me fit me retourner.
Les mains appuyées sur le plan de travail, les fesses en arriere, il prit possession de mon intimité. Sa queue s'engoufra lentement en moi jusqu'a ce que son pubis vienne se coller à moi. Il ondula ainsi en moi, me caressant les seins, les pressant, les pincant. Puis un rythme plus soutenu. Il claquait contre mes fesses. Sur la pointe des pieds, je me suis donnée à lui, l'encourageant de mes gemissements. De temps en temps, il sortait completement de moi pour y revenir encore plus fort. Quand sa queue glissa sur mon oeillet, je lui refusais l'entrée. Il n'insista pas et revint dans ma chatte pour m'amener au plaisir. Comme electrisée, une onde parcourue mon corps, puis une seconde, puis une troisieme qui me fit crier mon bonheur. Il ne lui fallut que quelques secondes pour se laisser aller et jouir en moi.
la tete entre mes bras, je sentais deja le sperme couler le long de ma jambe. Un autre jour, j'aurais immediatement attrapé quelque chose pour arreter cet ecoulement; mais la je restais dans cette position: lui, perdant son ardeur en moi, et son plaisir ruisselant sur mes jambes.

2 commentaires:

  1. Laure,
    Pourquoi lui avoir refusé votre "oeillet" ? vous l'excitez et apres vous vous refusez ! Quel manque de courtoisie !

    Steph.

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  2. De nouveau amoureuse de ton homme? sensations et envies revenues... sourire... c'est cool! Mais je peux me permettre une question indiscrète? As-tu pensé à ton Maître pendant ce moment d'abandon? Cette question est peut être abrupte mais ma curiosité... rire... On ne se refait pas... Bisous Laure

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