La rencontre de Maitre et de Laure

Un homme, Une femme, des echanges.
Simplement un journal à deux faces.

MetLaur@live.fr

lundi 25 mai 2009

Lundi - Semaine 12

Pas de nouvelles de Lui pendant une semaine. J'ai toujours les clés de l'appart.
Ma Garde-robe s'agrandit de sous-vetements ces temps-ci. Mon chéri me fait des petits cadeaux, des petites surprises; vraiment petites d'ailleurs, la derniere en date fut un string, un string ridiculement petit avec juste une ficelle dans le dos, et devant pas vraiment beaucoup de tissu. Mais cela l'emoustille de me voir les porter ... alors je cède. Comme presque toujours je lui cède. Sauf ...
Ce matin, j'ai recu des nouvelles de Maitre. Un mot sur le site, toujours aussi court et peu detaillé.
"Laure,
Que lis-je ? Tu lui as refusé ton oeillet ? je suis fort deçu. Tu t'habilles pour l'exciter, tu l'acceptes debaout dans ta cuisine et tu lui refuses ton cul ? je suis deçu.
Soit à 12h15 à l'appart. Nue biensur et masquée.
Ton Maitre."
J'etais contente d'avoir de ses nouvelles. J'aurais préferré un "Bonjour, comment vas tu ?" mais je ferais sans. Je me suis donc rendue à 12h00 à l'appart, un peu en avance, comme souvent. Presque impatiente. Je me suis deshabillée completement, pantalon, chemisier, culotte, soutif et chaussette soigneusement pliée sur la commode. Et je l'ai attendue avec mon masque sur les yeux, assise sur le bord du lit. De longues minutes d'attente pour enfin entendre le bruit de la clé dans la serrure.
Il est entré sans un mot. Enfin si :"Mets toi a quatre pattes sur le lit". Je me suis éxécutée.
Quelques secondes plus tard, je sentais ses doigts deja tout contre mon sexe. A plat, il frottait mes levres, juste assez pour les ouvrir, juste assez pour les tendre puis les relacher. Puis il m'a demandée de passer une main entre mes cuisses et de me caresser moi-meme. Il me guidait en me donnant le rythme, en me disant comment mettre mes doigts. Sa voix s'est eloignée. Puis il est revenu. J'ai senti la fraicheur d'une huile qui coule le long de mon sillon pour venir au contact de mes doigts me lubrifier la chatte. Cette odeur de vanille si agreable; cette sensation de chaleur presque immediate sur mes levres et mon clitoris. Il m'a glissé le vibromasseur dans ma main pour que je me masturbe avec. "Enfonce le bien profondemment" me disait il tout en me caressant les fesses.
Quelques instants de plaisir et il me retournait sur le dos, une jambe ouverte et l'autre relevée contre son corps. "Continue". il vibrait en moi quand j'ai senti mon oeillet sollicité par son doigt. "Non !". Je ne voulais pas. Il a continué sa progression sans que vraiment je ne cherche à l'arreter. Petit à petit, ses doigts glissaient dans mon cul, m'ouvrant par cet endroit si peu habitué.
Il m'a pris les mains pour me les faire poser le long de mon corps. Mon coeur s'est emballé à l'idée de ce qu'il oserait faire. Le vibro a quitté mon sexe et la langue de mon Maitre s'est empressée de venir sucer mon bourgeon. Mes seins, mon corps se sont tendus sous sa caresse buccale. J'ai un mouvement de recul lorsque mes fesses furent en contact avec la vibration de cette copie de phallus. Il m'empecha de bouger et penetra mon anus doucement. La douleur arriva progressivement quand il fut en moi. Ni la vibration, ni la langue ou les doigts de mon Maitre ne suffirent. J'avais l'impression que cela n'en finissait plus. Je tentais de baisser ma jambe pour refuser cette intrusion et d'une voix timide "Non pas ca, je veux pas ...".
Laissant le vibro enfoncé au fond de mon cul, il me dit juste un "D'accord". Il se leva du lit.
je reprenais ma respiration quand j'entendis la porte claquée.
Surprise, je me relevais rapidemment en enlevant le masque. Le vibro s'enfonca alors dans mon cul et m'arracha un cri de douleur. Il etait parti ! tout ca parce que je refusais cette pratique.
La surprise passée, je me rallongeais sur le lit et je ne sais pourquoi je me fis jouir ainsi, enfoncant mes doigts violemment dans ma chatte. Me liberer, c'est juste ce que je voulais, me liberer de la frustration de son depart soudain.
Apres avoir mouillé le drap du lit, j'otais ce vibro incomfortable et allait faire ma toilette pour repartir au travail.
La sensation de mon petit trou encore ouvert dura tout le long du retour. Ile me fallut me remettre au travail pour oublier la deconvenue que je venais de subir. Et alors, quoi, je n'aime pas me faire sodomiser, est ce vraiment si important ?

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